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| naveen-le-citron ৩ give your heart a break | |
| Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: naveen-le-citron ৩ give your heart a break Mer 23 Nov - 8:19 | |
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lieu de naissance, nationalité Je suis née le 26 juillet 1987, à 6h35 du matin, il commençait à faire chaud et beau dès cette heure-ci ici à Los Angeles en Californie. J'ai donc 24 ans - et aucune ride et je suis américaine avec des origines espagnoles lointaines. poids, taille, particularités Je mesure 1m72, vous avez vu, je peux même devenir mannequin avec cette jolie taille ! La dernière fois que je me suis pesée, je faisais 58 kilos. Mes cheveux sont bruns avec des reflets châtains, je les teint en blonds quand j'en ai envie. J'ai un piercing au nombril et un sur le nez que je porte rarement. J'ai un grain de beauté au-dessus de la lèvre que je cache avec du fond de teint la plupart du temps. qualités, défauts 6 mots? Wow, on fait dans le raccourci ces jours-ci, non? Alors... Je suis manipulatrice, arrogante et narcissique. J'ai une répartie hors du commun, mais je ne suis pas violente. On a tous un côté négatif après tout. Le mien je viens de le définir, mais laissez-moi quand même citer mes qualités, parce que oui, j'en ai ! Je me dirai plutôt douce, intelligente et charismatique.
| études ou emploi J'étudie la criminologie option profilage depuis maintenant quatre ans. Eh oui, j'ai pris deux années sabbatiques entre mes 18 et 20 ans pour voyager autour des États-Unis, j'ai visité au moins une fois chaque état. Je suis aussi cheerleader, c'est quelque chose qui me prend beaucoup de temps à côté des études. Et puis en tant que présidente des Zeta Lambda, mon temps libre pour un emploi est réduit. Vive l'argent de maman et papa ! résidence Je vis dans la résidence des Zeta, en tant que présidente je me dois de rester parmi mes sœurs pendant toute la semaine, d'être présente à toutes les soirées que notre sororité organise et de veiller sur les plus jeunes recrues. confréries Zeta Lambda, deux mots qui résume ma vie depuis quatre ans à présent. Je suis la présidente de la sororité et compte le rester jusqu'à ce que mes années à l'université se terminent et que je doive entrer dans la vie du travail. La vie entre sœurs et quelque chose qui me plaît beaucoup, et n'allez pas croire que c'est seulement pour le plaisir de bizuter les nouvelles avec quelques machiavéliques plans que j'ai inventé.
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| Prénom/Pseudo: Anne-Laure ৩ Queen Show. Âge: 15 ans. Comment êtes-vous arrivé sur le forum ? Grâce à Tyler qui m'a offert ma chance de faire parti du staff. Double compte ? [] OUI [৩] NON Votre avis sur le forum: Il est magnifique, le design & les couleurs gèrent et le contexte est génial. Fréquence de connexion: 6j/7. Célébrité sur l'avatar: La belle Phoebe Tonkin. Type du personnage: Inventé. Code règlement: - Spoiler:
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Dernière édition par Naveen-Lemon McAvoy le Sam 26 Nov - 2:09, édité 6 fois |
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Invité Invité
| Sujet: Re: naveen-le-citron ৩ give your heart a break Mer 23 Nov - 8:19 | |
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ϟ my story is nota fairy tale
« Félicitations madame McAvoy, ce sont de belles filles que vous avez là ! Vous avez réfléchi à des prénoms ? » Nous étions le 26 juillet 1987, il faisait beau, il faisait déjà chaud à Los Angeles, il était 6h35 du matin et j’héritais du prénom Naveen-Lemon. Je ne serai vous expliquez pourquoi ma mère m’a donné le nom d’un fruit puisqu’elle ne me l’a jamais dit, elle a toujours évité le sujet comme si c’était quelque chose de secret qu’il ne fallait à tout prix pas évoqué. Enfin, ma sœur jumelle a eu un nom quasiment aussi hilarant, oui elle s’appelle bien Faye-Nemo. Qui aurait cru qu’on donnerait le second prénom de son prénom composé – car oui, notre mère était fan des prénoms composés, une obsession française, c’est presque vous dire si je ne parle pas couramment français après toutes ces années passées avec elle – aurait servi à nommer un poisson clown dans un des films de la compagnie Walt Disney. Enfin bref, nos parents étant de très influentes personnes dans le monde de la mode – mère & père stylistes, Faye et moi avions été élevées par une nourrice, elle s’appelait Juanita, était mexicaine et remplaçait notre mère. Elle a toujours été un modèle pour nous, quelqu’un sur qui on pouvait compter, à qui on pouvait parler, se confier et qui nous écoutait comme si ce qu’on lui racontait était le plus merveilleux des contes pour enfants. Alors que nous avions seulement 10 ans, que nous baignions dans la richesse, la gloire et une immense villa grâce à nos parents, Juanita quitta ce monde. Malgré l’énorme affection que nous avions pour elle, nous ne pleurions pas ; elle nous avait appris à être et rester fortes, et nous l’étions, en sa mémoire. Nos parents ne jugèrent pas nécessaire de la remplacer et après ses funérailles nous nous prîmes nous même en charge. Autant dire que deux sœurs jumelles qui ne peuvent compté que l’une sur l’autre - dans cette grande ville qu’est la Cité des Anges - devinrent souder plus que n’importe quelles jeunes filles au monde.
« Faye, pourquoi ? Tu m’avais promis d’arrêter… » Mes yeux mouillés plongés dans les siens cherchaient un quelconque signe de clarté. Je ne parlais pas de la drogue, ni de l’alcool, non je parlais de quelque chose qui me faisait intérieurement mal quand ma sœur jumelle le faisait. « Tu ne sais pas de quoi tu parles, Lemon. » La mutilation. C’est quelque chose que j’ai découvert alors que nous avions 16 ans, quelque chose contre laquelle elle a essayé de se battre seule avant que je ne le découvre mais ça faisait maintenant 1 an qu’elle le faisait, son bras gauche était rayé de haut en bas et ses deux cuisses de même. Elle n’a pas pu me le cacher longtemps, enfin si pendant quatre ans mais c’est seulement parce que je pensais seulement qu’elle avait des problèmes qu’elle ne voulait pas m’exposer. Nous avions grandi, et même en restant du même sang, nous ne partagions plus autant de choses qu’avant et je trouvais ça normal ma vie d’adolescente me semblait déjà assez compliquée, je n’allais pas commencer à m’occuper de celle de ma sœur ; se furent les années pendant lesquelles mon trait de caractère qu’est le narcissisme commença à se développer. Je me pris donc une énorme claque en découvrant le grand secret de ma sœur mais plutôt que de l’aider, je la dédaignais, je l’avais presque renié de ma vie car j’essayais d’ignorer ce sentiment de culpabilité - psychologique entre jumeaux et jumelles - qui heurtait mon égo au plus haut point. Je commençais à la regarder de haut et à ne ressentir plus rien que du dégout à son égard, très vite, je ne la mentionnai même plus comme ma sœur et sa présence était plus lourde qu’autre chose. « You’re such a bitch. » Voilà ce qu’elle aimait me répéter à longueur de journée, je n’appréciais pas ça, et une fois de plus je l’ignorais. Je ne sais pas comment elle a vécu ça mais moi, je m’en sortais plutôt bien. Je me permets d’ajouter un ‘plutôt’ car vous allez comprendre très vite que ma vie n’est pas celle qu’on croit qu’elle a été derrière mes grand airs de manipulatrice, de jeune fille vulgaire et féminine et de petite bourgeoise…
« La place est prise ? » Répondant par la négative sans même prendre le temps d’adresser un regard à mon interlocutrice, je dessinais des petits cœurs autour du prénom Mike – prénom de mon petit ami de l’époque - sur mon cahier de philosophie, j’étais en dernière année au lycée et je ne vivais que pour les beaux yeux du capitaine de l’équipe de basket-ball de l’école et pour ma tenue de cheerleader. Effectivement, la place à mes côtés était libre et alors que je levais les yeux pour pouvoir mettre un visage sur la voix suave qui m’avait interpellé, je lâchais mon crayon… Le bruit qu’il fit alors qu’il retomba sur ma table vint résonner dans mes oreilles comme s’il y avait un silence sourd et qu’une bombe explosait dans la salle, alors que des bavardages venant de tous les côtés créaient un bruit de fond assourdissant. J’appris dans les quelques secondes qui suivirent mon état de choc que la jeune fille s’appelait Kailynn. Kailynn Breeland, elle était blonde, grande et a fait battre mon cœur aussi vite qu’un train à pleine vitesse dans les premières secondes où je l’ai aperçu ; je n’ai pas de suite compris ce qui m’arrivait… « Naveen, tu peux lever tes yeux de mon décolleté ? Ma copine ne va pas aimer. » Mon visage vira au rouge, je savais qu’elle me taquinait, qu’elle n’avait pas de copine, enfin si, mais sa copine je la connaissais, c’était moi. Depuis deux mois. Entre elle et moi ça avait été fusionnel, passionnel et secret. Personne ne savait pourtant, chaque minute avec elle c’était le septième ciel - même sans sexe - pour moi comme pour la sud-africaine. Je suis sortie pendant 3 ans avec Kai, 3 ans, vous vous n’imaginez même pas ce qu’on a fait ensemble ! On a terminé le lycée et on s’est pris deux années sabbatiques pour faire le tour des Etats-Unis ; passant d’un motel tout pourri dans une petite ville perdue du Dakota à un hôtel luxueux dans le centre de Las Vegas. Nous avons visité tous les états, un par un, en y portant à chacun une importance égale et non-sous-estimable. Pendant toutes ces années, j’étais devenue une meilleure personne, elle était mon âme sœur et moi j’étais la sienne, tout était si simple. On s’aimait, du moins je le croyais… « Un mec dans mon lit ? De l’alcool ? Tu te fous de moi Kai ?! J’ai pardonné les deux dernières fois, et cette fois-ci ce ne sont pas deux doigts qui me feront oubliés ça, je me casse ! » Et c’est avec un boulet au pied, le cœur brisé, l’esprit bouleversé, les larmes aux yeux et l’idée d’une nouvelle vie en tant qu’hétérosexuelle – et non pas d’homosexuelle ou bisexuelle refoulée comme diraient certains – que j’ai quitté New York, et ait pris un vol illico presto pour la Californie. Tous mes amis et ma famille pensait que je les avais quittés pendant deux ans pour un garçon, et cette excuse me suffit à ne pas m’étendre sur le sujet. La seule personne qui savait pour Kailynn et moi c’était Faye, et sincèrement, je ne le vivais pas tellement bien.
« Bienvenue à l’université de Californie Los Angeles. Si vous êtes réunies ce soir c’est pour me prouver que j’ai fait le bon choix en vous acceptant parmi nous. Certains appellent ça du bizutage, moi j’appelle ça un rite de passage, montrez-moi que vous êtes dignes d’être l’une de nos sœurs. » Ce joli discours je le répétais une fois au moins par an depuis maintenant quatre ans ; c’était ce que je faisais, mon devoir, en tant que présidente des Zeta Lambda ; la sororité la plus classe et enviée de tout le campus. Mes sœurs et moi-même étions des filles plutôt pareilles, nées de mères différentes, on se ressemblait en beaucoup de sens ; le même caractère, les mêmes réactions, le même style vestimentaire… Et oui, j’avais été élue quatre ans auparavant en entrant à UCLA pour être la présidente de la sororité, ça avait été un grand honneur pour moi mais je savais pertinemment que personne n’aurait pu nous représenter mieux que moi. J’affichais sans cesse ce petit sourire narquois et malicieux sur mes lèvres alors que mon regard se perdait malencontreusement sur les courbes de mes sœurs. Heureusement pour moi, aucune d’elle ne soupçonnait mon orientation sexuelle, et c’était mieux pour tout le monde, je ne tenais pas à perdre ma place dans la confrérie pour une pauvre erreur de parcours avec une fille – aussi belle soit elle – qui n’en avait pas valu la peine. Qu’est-ce que je disais ? Je savais très bien qu’au fond de moi j’étais encore amoureuse de ces beaux yeux et de son accent sud-africain qui résonnait encore à mes oreilles dans mes rêves les moins orthodoxes, mais pourtant j’essayais de rester concentre sur les garçons. Aucun ne m’attirait particulièrement et je les envoyais à peu près tous balader mais tant pis. Autant jouer les filles inaccessibles et faire croire aux autres que personne ne nous mérite que de leur dire enfin qu’on ne s’accepte pas. Comme études, j’avais choisi criminologie, option profilage. Il n’y avait d’études de psycho, à mon plus grand regrée mais cette filière m’allait bien. J’avais failli ne pas être acceptée après mes deux années sabbatiques, mais mon dossier parfait – ainsi que l’argent de papa et maman – avait fait que l’université avait accepté ma candidature. Je n’avais pas revu ma sœur, on se parlait par e-mail et c’était tendu déjà ; tout le monde ignorait que j’avais une sœur jumelle et c’était pour le mieux, je n’avais pas de ça pour venir pourrir ma réputation, c’était ce à quoi je tenais le plus, après le souvenir ineffaçable de la blonde….
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