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 Le hasard n'existe pas, paraît-il. » • PV - Melody

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MessageSujet: Le hasard n'existe pas, paraît-il. » • PV - Melody   Le hasard n'existe pas, paraît-il. » • PV - Melody EmptyLun 23 Jan - 8:15

Le hasard n'existe pas, paraît-il. » • PV - Melody Yz35ots3

C'était la fin des cours pour beaucoup d'étudiants, il faut dire que l'université était reine dans les emplois du temps buissonnant aux heures de cours éparpillées. C'était la fin de l'après-midi, et j'avais décidé d'assister au dernier cours de la journée. Il avait été plutôt passionnant, même si c'était du déjà vu. Il venait de se terminer, c'est pourquoi me voilà dans les couloirs de la faculté, les traversant un par un, connaissant parfaitement le chemin. Je croisa peu de monde que je connaissais, ou alors je n'avais pas vraiment fait attention à eux. Je venais régulièrement dans ce bâtiment, étant donné que j'aimais bien venir voir Jazzmin en train de danser. Ce matin-même, comme à mon habitude, j'étais resté chez moi jusqu'à pas d'heure, décidant de profiter un peu de ma connexion internet. Surfant sur les réseaux sociaux, j'étais alors aller sur le profil d'une ancienne amie, Melody. Je dis ancienne, bien qu'elle l'était toujours resté. Disons que, depuis son voyage, je ne l'avais pas vu, et nous nous parlions uniquement par internet de temps en tant, autant dire que nous avions un peu perdu contact. Alors quelle ne fut pas ma surprise en découvrant qu'elle était en réalité dans la même université que moi ? Je me demande même comment j'avais bien pu passer à côté de cette nouvelle. Peut-être parce que cela faisait un moment qu'on ne s'était pas parlé, et la dernière fois, d'ailleurs, elle était toujours en voyage. Enfin bref, j'avais donc décidé d'aller directement la voir. Je ne savais pas comment elle allait réagir, peut-être m'avait-elle oublié au final. Pour ma part, en tout cas, je ne l'avais pas oublié. C'était une de mes seules vraies amies il y a quelques années, étant donné que je n'en avais pas vraiment, alors comment aurais-je pu.

J'avais rencontré Melody alors qu'elle vivait son premier chagrin d'amour. Un connard si vous voulez mon avis. Enfin, je peux parler, mais j'ai du faire bien pire que ce qu'elle a vécu. Enfin bref, qu'importe. Elle pleurait, et Dieu sait que je hais voir une fille pleurer. J'étais alors venu la voir. Au départ, je m'étais comporté comme à mon habitude. Autrement dit, je lui avais adressé la parole par des petits pics parfois peu agréables. Je ne m'en souviens pas vraiment car cela fait un moment, à présent, peut-être deux, trois ans ? Je ne m'en souviens plus. Mais, cela avait du ressembler à quelque chose du genre "Qu'est-ce que tu as à pleurnicher ? C'est pas agréable à entendre." De fil en aiguille, j'avais compris pourquoi elle pleurait, et j'avais donc fais de mon mieux pour qu'elle arrête. Suite à cela je la revis, et je crois que c'est la fille la plus joyeuse que j'ai jamais vu. Elle est toujours souriante, elle s'exaltait d'un rien, et avait une joie de vivre tellement impressionnante que cela déteignait sur moi, et j'étais d'ailleurs toujours de bonne humeur après l'avoir vu. J'avais toujours trouvé ça rare, une fille comme elle. Mais, malgré sa joie de vivre, je savais qu'au fond, elle pouvait être sensible, et fragile. Plus je la connaissais, plus je me faisais la promesse de veiller à ce qu'elle n'aille pas mal, et qu'elle ne pleure plus jamais. Elle est l'une des seule à savoir pour mon père, et un peu tout le reste. Au fond, aujourd'hui, ça me fait un peu peur de savoir qu'elle sait à peu près tout de moi. Mais ça m'avait fait du bien de me confier à elle.

C'était un comble de me dire que c'était grâce à un réseau social que j'avais appris qu'on fréquentait la même université. Enfin, ce n'est pas trop grave non plus. Ce qui compte, là maintenant, c'est que je suis au courant, non ? Alors me voilà, à déambuler dans l'établissement d'arts, de musique, de théâtre... Je savais qu'elle adorait la musique, et avais appris par la même occasion qu'elle l'étudiait. Je n'avais même pas hésité avant de me diriger ici. Ce n'est pas comme si je revoyais un fantôme du passé. Disons plutôt, un joli souvenir du passé, ce qui est bien mieux. Je passa près de la salle de musique et vit que pratiquement tout les étudiants étaient déjà parti. Ce n'était pas surprenant, vu le temps que j'avais mis pour venir ici. C'était peu, certes, mais assez pour partir de la salle. Je regarda autour de moi, et attrapa un étudiant qui était encore là, contre un mur. Je lui attrapa doucement mais fermement les épaules et lui demanda :

« Dis moi, les étudiants en Arts, ils peuvent aller où après un cours ?
-Ben, j'sais pas... Euh... La salle de détente qu'est dans le bâtiment ?
- Hm... Ok, merci.


Le pauvre. Je le voyais bien qu'il se demandait si je n'étais pas un peu fou. Mais tant pis, j'étais pressé, je ne voulais pas la louper et revenir demain juste à cause de quelques minutes. Je me dirigea donc vers cette salle, me trompa de chemin une fois, et la trouva enfin. J'étais peu à l'aise avec le sens de l'orientation, je l'admets. Surtout d'un bâtiment que je n'ai pas l'habitude de fréquenter entièrement. Je rentra à l'intérieur de la salle où se trouvait bon nombre d'étudiants déjà. La salle était jolie, pratique. Je commença à désespérer de la trouver et allait rebrousser chemin quand, dans un coin de la pièce, je vis une chevelure brun clair et une petite silhouette.Je m'en approcha et reconnu la jeune femme, de profil, qui ne m'avait pas remarqué. Je décida alors d'en profiter et avança à pas de loup avant de me poster derrière elle.

« Il paraît que Miss Baker étudierait ici ? »
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MessageSujet: Re: Le hasard n'existe pas, paraît-il. » • PV - Melody   Le hasard n'existe pas, paraît-il. » • PV - Melody EmptyMar 24 Jan - 5:27

Le hasard n'existe pas, paraît-il. » • PV - Melody Sans-titre2-30e5b2e

Le réveil sonna, comme à mon habitude je l'éteignis, et me leva. C'était chaque matin la même chose, j'allais prendre une bonne douche, enroula par la suite une serviette autour de la taille, laissant mes cheveux goutté seuls, et commençais à m'habiller, je pris le choix de porter un jean de couleur bleu, un top blanc avec par-dessus une fine veste noir. Je retournais par la suite dans la salle de bains pour me maquiller légèrement, je n'aimais pas trop me maquiller, je ne voulais pas ressembler à un pot de peinture. Je ne pris pas la peine de prendre un petit déjeuner, j’achèterais quelque chose sur la route pour aller à l'UCLA, je pris le métro où il y avait comme d'habitude un petit vieux qui faisait l’aumône, je le voyais tous les jours et à chaque fois, je ne pouvais m'empêcher de lui glisser un petit billet, je savais qu'il n'étais pas comme les autres mendiants car lui j'étais sur que c'était pour s'acheter de la nourriture et non de l'alcool, il partageait même son repas avec sa chienne, c'est d'ailleurs un chiot de cette chienne que ce vieil homme m'avait donné pour me remercier. Je montais par la suite dans le métro qui était déjà bondé de monde, je ne prenais que très rarement ma voiture pour aller à l'université, il était parfois impossible de se garer. Dans le métro, j'en profitais pour manger le croissant que je mettais acheter dans une petite boulangerie, non loin du métro., j'étais devenue une habituée de cette petite boulangerie, dont les gérants étaient fort sympathique.

J'arrivais enfin à l'université, saluais quelques amis par ci par là et me dirigeais ensuite vers mon premier cours, j'allais retrouver ma partenaire de cours, Calypso, on rigolait bien ensemble, on arrivait toujours à sortir une blague quand le cours était ennuyeux à mourir, il faut dire que certains cours de la filière étaient nul à chier. Mais il fallait bien suivre ses cours, si je voulais réussir et avoir mon diplôme, mes parents auraient préférés que je fasses des études de médecines ou de droit mais j'en avais décidé autrement et il avait accepté mon choix. Toute la matinée, les cours étaient rasoirs mais par chance, les heures passaient plutôt vite, pour mon grand soulagement. A la fin du dernier cours, je décidais de me diriger vers la salle de détente, où je pourrais me reposer et potasser quelques cours. Je m'étais installer dans un petit coin tranquille, où je serais à peu près au calme, je lisais un cours quand soudain une voix parla derrière moi. « Il paraît que Miss Baker étudierait ici ? ». Je pouvais reconnaître cette voix entre milles, c'était celle d'Andrew.

J'avais rencontré Andrew un jour où j'étais pas vraiment en formes, pour être franche, ce jour-là je pleurais toutes les larmes de mon corps, je venais de connaître mon premier chagrin d'amour, mon petit-ami m'avait trompé et j'avais appris par la même occasion que ce n'était pas la première fois qu'il le faisait. Andrew m'avait sortit un truc vraiment pas sympathique, du genre, "Qu'est-ce que tu as à pleurnicher ? C'est pas agréable à entendre.", je l'avais regarder avec un regard noir et contre toute attente, il s'était installé à mes côté et pour ma plus grande surprise, il essaya de me réconforter, il avait réussi d'ailleurs. Puis par la suite, on s'était revu plusieurs fois, Andrew était devenu très protecteur envers moi, il faisait tout pour que personne ne me fasse plus de mal, il aimait ma joie de vivre, et je savais le faire rire et j'adorais l'embêter par la même occasion. Andrew m'avait raconté ses problème et l'histoire concernant son père, j'étais d'ailleurs l'une des seules personnes à être au courant.

Je lui sauta au coup autant dire que j'étais heureuse de le voir, cela faisait quelques temps que je ne l'avais pas vu, étant parti faire le tour du monde avec ma tante, je lui écrivais parfois des petites messages et je lui envoyais aussi une carte postale de chaque pays, de chaque ville que je visitais et je peux dire qu'il y en avait un paquet. « Comment je suis trop contente de te voir, qu'est ce que tu fais là, je ne savais pas que tu étudiais ici. ».
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MessageSujet: Re: Le hasard n'existe pas, paraît-il. » • PV - Melody   Le hasard n'existe pas, paraît-il. » • PV - Melody EmptyVen 27 Jan - 20:50

Je la vis à peine se retourner alors qu'une chevelure brune me cachait la vue. Je ris légèrement et la serra brièvement contre moi. Melody, c'est vraiment la fille qui peut se permettre ce genre de chose sans me mettre mal à l'aise ou quoique ce soit de ce genre. Malgré mon caractère, si l'on voulait me mettre mal à l'aise, il y avait quelques choses, simples mais difficiles à deviner, qui me gênaient un peu. Par exemple, je n'aimais pas voir une fille pleurer ou triste, j'étais toujours mal à l'aise et je ne savais jamais comment je devais réagir. Une de ces autres choses étaient de venir me faire un câlin, ce n'est pas dans mes habitudes, hormis pour quelques filles que je pouvais vraiment qualifier d'amies, comme Melody. La première fois j'avais été tellement surpris que j'étais resté complètement stoïque sans rien dire, ça avait du être comique à voir pour elle.

« Comment je suis trop contente de te voir, qu'est ce que tu fais là, je ne savais pas que tu étudiais ici. ».

Elle s'éloigna légèrement et je pu enfin voir son visage, toujours aussi illuminé d'un sourire resplendissant. Elle semblait toujours joyeuse, le sourire aux lèvres, elle respirait la joie de vivre comme personne, et c'est ça qui m'avait donner envie de la revoir quand nous étions plus jeunes, pour la connaître mais aussi pour pouvoir profiter de sa bonne humeur. C'était comme si elle pouvait me la communiquer, en moindres effets sûrement pour moi, mais c'était toujours plaisant. Je lui rends son sourire mais lève un sourcil en baissant la tête vers elle.

« Hm je te signal que moi non plus je ne le savais pas, heureusement que j'ai remarqué ça, ce matin, sinon on ne se serait peut-être jamais vu ou bien on se serait rentré dedans comme deux pauvres imbéciles. Alors dis moi, comment s'est passé ton voyage ? »

En y réfléchissant, je n'avais pas l'impression de ne pas l'avoir vu depuis plus de deux ans. Peut-être que cela venait du fait qu'elle m'avait envoyé une carte postale pour chaque ville qu'elle visitait. Je devais en avoir un paquet sur mon bureau. Au début je les posais en évidence, ravi qu'elle pense tout de même à moi, puis il y en a eu tellement qu'elles ne tenaient pas toutes. Ca m'amusait et j'étais content à chaque réception des cartes postales.

Maintenant qu'elle était là, je me disais que je pouvais enfin continuer à honorer ma promesse envers elle, autrement dit que plus personne ne la ferait pleurer. Enfin, je l'espérais, car à l'époque j'étais jeune et un peu naïf de me dire que je suffirais pour qu'elle ne soit plus jamais triste, mais bon. Je ferais tout pour qu'elle aille bien, et si par malheur quelqu'un lui faisait du mal -déjà je donne pas cher de sa peau- je serais là pour lui remonter le moral. Ou du moins pour essayer. C'était comme si, à la rencontre avec Melody, je venais de découvrir que j'avais une sœur. Bien sûr je ne parle pas de la demi-sœur que j'ai réellement, que je ne connais d'ailleurs absolument pas, car je savais parfaitement qu'avec elle, si je la rencontrais un jour, je n'aurais sûrement pas l'envie de la protéger elle. C'est un peu idiot, mais je ne l'aime pas pour la simple raison qu'elle a eu ce que moi, je n'avais jamais eu. Enfin, peu importe. Je voulais protéger Melody du mieux que je le pouvais, comme pourrait le faire un frère. Plus j'avais vu sa joie de vivre à toute épreuve, plus j'avais eu envie de la protéger de la tristesse de la vie habituelle, que l'on pouvait rencontrer un peu n'importe où.

Je jeta un regard circulaire autour de nous, il ne restait que quelques élèves, dont certains avaient jeté un œil sur nous quand Melody m'avait sauté au cou. Je me souviens que la première année ou nous nous étions connu, quelques-uns des mecs que je côtoyais alors -oui dire amis pour ce genre d'individus c'est vraiment extrapoler- me rabâchais sans cesse que "j'étais amoureux". Puis ils comprirent ensuite que c'était bien autre chose, qu'à l'époque je trouvais toujours mieux que l'amour que je fuis toujours comme la peste. Notre relation pouvait piquer la curiosité de certaines personnes, mais ce n'est pas ce qui me tracasserait un jour. Elle était ainsi et cela ne changerait pas, ou je l'espère du moins, car Melody faisait parti de ma vie depuis ce soir où je l'avais vu pleurer. Elle connaissait mon passé, mon caractère, et ce qu'il cachait parfois. C'était bien la seule, ici, dans cette université à savoir tout cela. Et pour le caractère que j'arborais depuis longtemps, être aussi proche de moi était, je le conçois, un peu bizarre à la vue des autres. Moi-même j'en serais surpris si je ne m'étais pas habitué à être comme cela avec quelqu'un.

« Il paraît que tu étudies l'art, ça ne m'étonne même pas ! »

Je lui lance un dernier sourire complice une fois ma phrase terminée. J'étais encore un peu surpris de la voir ici, mais cela rendrait sûrement les choses plus joyeuses.
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MessageSujet: Re: Le hasard n'existe pas, paraît-il. » • PV - Melody   Le hasard n'existe pas, paraît-il. » • PV - Melody EmptySam 28 Jan - 23:43

Je lui sautais dans les bras tellement contente de le revoir, c'était un réflexe, il me serra brièvement. Il était comme ça et je le savais car la première fois que je mettais mise dans ses bras, il fut choqué pendant un moment, il n'avait plus bougé, on aurait dit qu'en un fraction de seconde il s'était transformer en statut. Il avait été super gêné alors que moi j'avais fait ce geste machinalement sans trop y penser. Au fil du temps, il avait été moins mal à l'aise et aujourd'hui, ça ne le choquait même plus. Maintenant, je savais comment il était, je connaissais ses réactions et pour lui c'était pareil, il avait compris que j'étais une fille qui aimait bien les contacts tactiles, que j'aimais montrer mes sentiments aux gens que j'aimais.

Je m'éloignais par la suite pour pouvoir voir son visage, il n'avait pas changer, il était comme dans mes souvenirs, je devais bien l'avouer, il m'avait drôlement manqué pendant mon voyage, et le revoir aujourd'hui me comblait littéralement de bonheur. Même si quand nous nous étions rencontré, nous étions jeunes, je savais que je pouvais compter sur lui si je n'allais pas bien ou si j'avais un problème. Il remplaçait mon grand frère qui était en Italie chez mes grands-parents.« Hm je te signal que moi non plus je ne le savais pas, heureusement que j'ai remarqué ça, ce matin, sinon on ne se serait peut-être jamais vu ou bien on se serait rentré dedans comme deux pauvres imbéciles. Alors dis moi, comment s'est passé ton voyage ? » me dit-il. Alors, lui aussi ne savais pas, on avait l'air fin comme ça, et il est clair qu'on aurait eu l'air bête si on se serait rentrer dedans par hasard dans un couloir ou une rue de Los Angeles. « Hum, que dire, à part que c'était génial, j'ai vu des monuments aussi beau les uns que les autres, j'ai pu apprendre la cultures des autres et leur faire partager la mienne, apprendre quelques langues malgré que ce n'était pas glorieux et qu'aujourd'hui je m'en souviens quasiment plus ou alors je les mélange, j'ai vraiment appris pleins de chose, ça m'as fait vraiment grandir. Mais tu as du recevoir mes cartes, je n'ai sélectionné que les plus belle. » lui répondis-je.

Je lui parlais comme si je n'étais partit que quelques semaines en vacances alors que j'étais partit un peu plus de 2 ans mais qui pour moi était passé très vite, et puis c'était comme si je n'avais jamais quitté Andrew, comme si il avait toujours été à mes côtés. J'avais toujours aimé sa compagnie, elle m'était rassurante, avec lui j'avais l'impression qu'il ne pouvait rien m'arriver .
Le calme se faisait ressentir dans la pièce, je regardais vaguement la pendule accroché sur l'un des mur de la pièce et je pus constater que les cours avait repris pour certaines personnes heureusement pour moi, j'étais encore en pause, j'allais pouvoir profiter de mon Keenan adoré. Il restait quand même certaines personnes dans la pièce et en les regardant, je pus constater qu'elles nous observaient, un peu surpris. Je savais ce que ces personnes pensaient car bon nombres de mes amis avaient pensé la même chose. Mais je n'étais pas en couple avec Andrew et il m'était même d'ailleurs jamais venu à l'esprit qu'il en soit ainsi, je considérais Andrew comme un frère et jamais je ne sortirais avec mon frère alors avec lui non plus. Mes amis me disaient souvent qu'ils étaient séduisant que je devais foncé mais je leur répétais toujours la même chose, c'était un ami et ça ne changerait jamais.

« Il paraît que tu étudies l'art, ça ne m'étonne même pas ! »
me dit-il. Il est vrai qu' Andrew m'a souvent entendu poussé la chansonnette sans même m'en rendre compte, ça me venait tout seul. «Mes parents voulaient que j'étudies le droit ou la médecine, et j'ai longtemps hésité avant de prendre la filière Arts.».
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MessageSujet: Re: Le hasard n'existe pas, paraît-il. » • PV - Melody   Le hasard n'existe pas, paraît-il. » • PV - Melody EmptyDim 29 Jan - 3:35

« Hum, que dire, à part que c'était génial, j'ai vu des monuments aussi beau les uns que les autres, j'ai pu apprendre la cultures des autres et leur faire partager la mienne, apprendre quelques langues malgré que ce n'était pas glorieux et qu'aujourd'hui je m'en souviens quasiment plus ou alors je les mélange, j'ai vraiment appris pleins de chose, ça m'as fait vraiment grandir. Mais tu as du recevoir mes cartes, je n'ai sélectionné que les plus belle. »

Je souris en écoutant son récit et hoche la tête en rigolant. Oh que oui je les avais reçu, et il n'y en avait pas qu'une.

« Si je les ai reçu ? Bien sûr. Il y en a eu des tooonnes ! A chaque fois j'étais étonné que tu trouves encore des cartes postales à m'envoyer. Mais je les ai toutes gardées, elles doivent être dans ma chambre, sur mon bureau. Tu as l'air de t'y être amusé, c'est le principal. Content de le savoir, même si je m'en doutais un peu vu ce que tu marquais sur les cartes. »

Je la vois regarder également les gens autour de nous qui prêtent attention à ce que l'on fait, ou dit, mais reporte rapidement l'attention sur moi. Je savais qu'elle aussi n'était pas étonné de voir la réaction de certaines personnes. Beaucoup nous avait prit pour un couple, cela ne nous gênait pas et nous nous en amusions même. Entre la réalité et ce que voit les gens, il y a un grand fossé. Il suffisait de voir les regards que je m'étais attiré quand je couchais avec toutes les filles que je croisais, ou pratiquement. Certaines filles me demandaient même "Mais pourquoi tu trompes Melody ?!" Au départ j'en avais été agacé, mais j'avais vite remarqué que j'avais beau dire ou faire quoique ce soit, ils ne croiraient que ce qu'ils voudraient. Alors je m'en étais amusé, j'avais joué avec cela. Je me souviens même qu'une fois, un garçon tournait autour de Melody, et je le connaissais d'ailleurs bien. Il était connu pour coucher avec les filles et les jeter ensuite, il s'en servait, se fichait de leurs opinions ou leurs émotions. Alors je m'étais présenté comme petit-ami de Melody, et avec ma propre réputation, il avait fait profil bas. C'était pratique pour certaines choses. On s'était déjà même faufilé dans des soirées réservées au couple. Mais jamais, ni elle ni moi, n'avions imaginé l'être réellement. Nous avions une relation certes compliquée à comprendre d'un point de vue extérieur, mais pour nous, elle était très simple. On prenait soin l'un de l'autre, j'étais parfois un peu trop protecteur vis à vis d'elle, mais je la prenais vraiment comme ma petite sœur, et personne n'a intérêt à lui faire du mal.

«Mes parents voulaient que j'étudies le droit ou la médecine, et j'ai longtemps hésité avant de prendre la filière Arts.
- Et ils ont réagit comment ? En tout cas, moi je t'imaginais bien là-dedans, ça te va à merveille. »

Il est vrai que Melody avait toujours adoré l'art, je l'entendais souvent chanter ou ne serait-ce même que fredonner une chanson. Elle le faisait régulièrement, témoin de sa bonne humeur, et j'avais toujours apprécié le son de sa voix que j'aimais particulièrement. Elle devait être doué pour ça, je ne m'en faisais même pas pour ses études, même si certains oseraient encore affirmer que c'est un grand risque à prendre, étant donné que l'art débouche sur peu de chose et qu'il faut vraiment être doué. Mais je savais qu'elle l'était, j'en étais persuadé. Des pas dans le couloir me fit prendre conscience que certains reprenaient les cours. Melody n'ayant évoqué aucun cours, je devina qu'elle n'en avait plus, tout comme moi. Les horaires étaient toujours très espacées ce jour-là pour ma part, et certains profs nous avait même avouer qu'ils enlèveraient bien certaines heures pour les mettre un autre jour, tellement l'emploi du temps était mal fait. Mais je ne connaissais pas un seul étudiant qui ne s'était jamais plains de son emploi du temps et de ses horaires de cours.
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MessageSujet: Re: Le hasard n'existe pas, paraît-il. » • PV - Melody   Le hasard n'existe pas, paraît-il. » • PV - Melody EmptyLun 6 Fév - 1:47

Nous nous étions installés sur un des canapés de la salle de détente, en effet celle-ci était assez grande et composé de table avec des chaises tout confort, pour que nous les jeunes étudiants que nous sommes, soit à l'aise pour bien étudier nos cours, il y avait aussi contre le mur où se trouvait les fenêtres, une rangée de tables où était positionné plusieurs ordinateur, écran plat. Au milieu de la pièce, trônait plusieurs canapé et pouf et avec Andrew, nous avions de la chance car la salle s'était vidé, il ne restait plus que nous dans la pièce, elle avait été déserté, tous les autres élèves étaient aller en cours ou autres parts, allez savoir. Il faut dire qu'à U.C.L.A, tous les élèves avaient des emplois du temps assez spéciale, les horaires des cours étaient assez espacées les unes des autres pour nous laisser du temps libres pour respirer ou seulement travailler, bien que certains jours cela était assez embêtant surtout quand il fallait se lever tôt juste pour une heure de cours, mais quand cela arrivait je ne me levais pas, préférant continuer ma nuit que de m'endormir sur le bureau de l'université.

Je lui parlais de fait que mes parents auraient préféré que je fasse des études de médecines ou de droit, car pour eux, il y avait plus d'opportunité pour l'avenir, pour eux c'était plus raisonnable, j'avais bien sûr pris leur avis en compte mais après des jours et des jours de réflexion, je n'avais pu me résoudre à ne pas suivre ma passion pour la musique et j'avais donc décidé de suivre mes envies, mon instant et j'avais choisi de suivre la filière de l'Arts, là, où était ma place. « Et ils ont réagit comment ? En tout cas, moi je t'imaginais bien là-dedans, ça te va à merveille. » me dit-il. Il est vrai que je l'avais soûlé un nombre incalculable de fois avec les chansons que j'avais dans la tête, il faut dire qu'à chaque fois qu'on se voyait, j'avais toujours une chanson dans la tête et je me mettais sans cesse à la fredonner ou la chanter à voix haute. Je me suis toujours demandé si je ne le soûlais pas à la longue mais à en croire par ce qu'il venait de me dire, ça ne devait pas être le cas. « Contre toutes attentes, non, ils ont réagit super bien, ils m'ont dit qu'ils m'avaient juste fait part de leur point de vue et que c'était à moi de faire mes choix. Mes parents sont géniaux, tout comme moi. » dis-je en rigolant.
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MessageSujet: Re: Le hasard n'existe pas, paraît-il. » • PV - Melody   Le hasard n'existe pas, paraît-il. » • PV - Melody EmptyLun 6 Fév - 2:44

La salle de détente portait bien son nom. Les canapés de celle-ci entouraient une table basse où l'on pouvait apercevoir quelques magasines ainsi qu'un stylo sûrement oublié par l'un des étudiants qui était présent tout à l'heure. Nous étions seuls désormais, et j'imaginais bien qu'avec le temps qu'il faisait, certains voulaient en profiter un maximum avant d'étudier les cours qu'ils venaient de recevoir. Le canapé était tendre et moelleux, très confortable pour un simple sofa de salon. L'université n'était pas l'une des plus réputées pour rien, c'était l'une des meilleures, et cela se ressentait rien qu'en s'asseyant sur un canapé simpliste, payé sûrement deux fois plus cher qu'un canapé d'université ordinaire. Ce luxe me convenait parfaitement. Bien que je n'avais pas grandi avec de l'argent à foison, j'aimais tout ce qui était luxueux, cher et touti quanti. C'est pourquoi je me ruinais dans mes fringues, j'aimais avoir un style qui ne montrait absolument pas ma situation financière presque déplorable.

« Contre toutes attentes, non, ils ont réagit super bien, ils m'ont dit qu'ils m'avaient juste fait part de leur point de vue et que c'était à moi de faire mes choix. Mes parents sont géniaux, tout comme moi. »

Je ris légèrement, près d'elle, et déposa un baiser furtif sur sa joue. C'était vraiment l'une des seules personnes à qui je pouvais témoigner mon affection ainsi car, à vrai dire, cela ne me ressemblait absolument pas. C'était comme si j'étais une autre personne en compagnie de mes proches, et donc de Melody. Mon masque froid et hautain tombait, j'étais quelqu'un d'autre et je n'hésitais pas à m'ouvrir à eux par moment. Même s'il y avait peu de gens qui pouvaient s'en vanter. J'y comptais Melody, évidemment, puis Max, même si nous étions tout les deux fidèles à nous-même, mais nous nous retrouvions quoiqu'il arrivait. Nous étions tellement similaire, ça m'en aurait presque fait le détester. Mais au contraire de cela, un soutien masculin quant aux relations humaines que nous n'arrivons jamais à gérer était accueillit à bras ouvert. Puis même si je ne le dirais jamais, j'avais besoin de lui moi. Bien sûr, après je voyais Billie avec qui j'étais plus accueillant, chaleureux et farceur. Mais jamais je ne quittais mon arrogance et mes taquineries parfois lourdes. Heureusement qu'elle était là, elle aussi. Elle me faisait bien rire et cela égayait mes journées par moment.

« Ca je le sais déjà que tu es géniale. Maintenant il ne te reste plus qu'à le prouver au monde entier ! »

Je lui adressa un clin d'œil tandis que sa fidèle bonne humeur me rendait déjà plus joyeux que ce matin, qui ne s'était pas très bien déroulé comme à mon habitude. Elle avait ce don de me faire sourire même si j'étais énervé, et rien que pour ça, je l'en aurais remercié milles fois si je l'aurais pu. Mais là non plus, je n'étais pas comme ça. Remercier quelqu'un ou m'excuser n'était pas dans mes capacités, ou bien très rarement.
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