J'me présente !

“ Aloha, petit Koala ! N'essaye pas de t'échapper, tu es pris dans mes filets ! Mais ne t'en fais pas, je ne compte pas te torturer (quoi que...), je veux juste te poser quelques questions. Déjà, je pense savoir que tu t'appelles a. kéwan packers-welss et que tu as vingt ans. Oui, je sais, je suis très forte. En même temps, ma meilleure copine, c'est Beautiful Lie ou Gossip Girl si tu préfères. Elle m'a dit que tu étais en deuxième année de médecine. Mmh.. tu dois être un étudiant bosseur et appliqué. Mais je vais arrêter de te faire des éloges, tes chevilles enflent déjà. Vu ta tête, je dirais que tu viens de seattle en californie. Je me trompe ? Bien sûr que non ! Je l'ai su tout de suite. Mais la première chose que l'on remarque chez toi, ce sont tes grands yeux hypnotisants ! Je sais ce que tu penses : je suis en train de me faire draguer ! D'ailleurs, vu qu'on parle de ça, tu es célibataire depuis 0.1 ans. Je sais que c'est un sujet embarrassant mais on aime les détails croustillants ! Pendant que j'y suis... Tu fais partie des don't stop the party donc.. tu dois vivre en appartement avec toi-même. J'aime bien suivre les gens dans la rue et voir si leur habitation est à leur image ! Tu dois me trouver tordue. J'ai l'habitude ! Mais tu as de la chance, tu m'as tapé dans l'oeil ! Et en plus, tu ressembles trait pour trait à julian schratter.. j'aime ça ! Mais sur ce, je te laisse. On se recroisera sans doute mais je ne te le souhaite pas. Bon vent ! „

Qui est-ce ?

Prénom/Pseudo: lucie/resume Âge: 18 ans Comment êtes-vous arrivé sur le forum ? grâce à PRD Double compte ? [] OUI [x] NON Votre avis sur le forum: ♥ Fréquence de connexion: min : 3/7 Célébrité sur l'avatar: julian schratter Type du personnage: inventé Code règlement:

Spoiler:

Quand j’y repense, j’aurai kiffé sortir du ventre de ma mère et crier « HELLO WOOOORLD ! » Je crois que je me serai badé, putain ouais s’aurait été géant, magique même ! Mais bon impossible. Rêver c’est bien mais ça ne fait pas tout. À la place de ça, je suis né en siège y’a un peu de vingt ans dans une clinique privée à Seattle, en Californie. Et ouais, tout le monde ne sait pas où se trouve cette fichu ville de Seattle. Tout le monde n’est pas aussi bon en géographie qu’un atlas mondiale. Je suis drôle hein ? Je sais. Mes parents eux ne l’étaient pas vraiment, trop pris par leur profession. Mon père, PDG d’une multinationale et ma mère, journaliste de mode. Il faut qu’ils n’ont pas vraiment été présent dans ma vie ou alors juste pour me donner des sous. À croire qu’ils voulaient acheter mon amour que des dols. Aujourd’hui, avec le recul, j’en ris mais plus jeune, ça me faisait vraiment chier. D’ailleurs je leur faisais bien savoir en enchainant les conneries, dès mes premières classes. Ils étaient fous, et je le devenais. Pas fou, aliéné hein, fou dans le genre « je fais et dis pleins de conneries ». De toute façon, ils réparaient toujours tout et ne m’engueulaient presque jamais. Seule ma gouvernante osait le faire et c’est d’ailleurs grâce à elle que je ne suis pas devenu un de ses fils à papa con jusqu’à la moelle. Et la remercie maintenant.

“ Papa, je deviendrai pas comme toi. Mon rêve à moi, c’est la chirurgie, pas le suçage de boules. Avant que tu ne m’en colle une, je préfère t’avertir que je ne renoncerai pas à ça. Jamais. Ce n’est pas parce que tu as succédé grand-père William que je devrai te succéder. Il en est hors de question. „

Je devais avoir pas moins de seize ans quand j’ai osé déballer mes idées d’avenir à mon père. Je sais, je n’y suis pas allé de main morte mais bon, que voulez-vous, je suis comme ça. Je préfère aller droit au but. À mon plus grand étonnement, mon père n’a rien dit, je n’ai même pas reçu la raclée de l’année. J’ai même cru voir un peu d’admiration dans les yeux de mon père, comme s’il admirait le fait que j’ai osé dire ce qu’il aurait voulu avouer lui-même à son père. Après ça, j’ai terminé le lycée et j’ai postulé pour l’UCLA, une énorme université californienne située à San Francisco. À côté de cours, je sortais, sortais, sortais et encore sortais. Je ne manquais aucune soirée, et je ne manquais aucune occasion de taper soirée à la maison quand mes parents n’étaient pas là. C’est-à-dire, super souvent. Le truc de cool c’est que la fête, ça détériorait pas mes résultats scolaires, pourtant j’y allais pas de main morte. Pétards, alcool, baise. Alors pourquoi ne pas continuer ? J’arrivais à faire la part des choses, c’était le plus important. J’arrive à m’éclater la gueule comme il faut, à être présent en cours le lendemain, sans retard ni rien. C’est génial. Mais les fêtes de lycée ne sont pas les mêmes que celles de l’université, surtout quand celle-ci est l’une des meilleures. J’espère que je tiendrai toujours le coup. En tout cas, je suis prêt à être dans des états tous les plus insolites et inattendus que les autres.