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| I'm a work of art free » CHRIS | |
| Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: I'm a work of art free » CHRIS Lun 30 Avr - 23:17 | |
| J'me présente ! “ Aloha, petit Koala ! N'essaye pas de t'échapper, tu es pris dans mes filets ! Mais ne t'en fais pas, je ne compte pas te torturer (quoi que...), je veux juste te poser quelques questions. Déjà, je pense savoir que tu t'appelles Chris E. Morton et que tu as 30 ans. Oui, je sais, je suis très forte. En même temps, ma meilleure copine, c'est Beautiful Lie ou Gossip Girl si tu préfères. Elle m'a dit que tu n'étais à l'UCLA, j'en conclus donc que tu dois travailler et être professeur en criminologie. Mmh.. tu dois être quelqu'un de généreux et extraverti. Mais je vais arrêter de te faire des éloges, tes chevilles enflent déjà. Vu ta tête, je dirais que tu viens de Hollywood en Californie. Je me trompe ? Bien sûr que non ! Je l'ai su tout de suite. Mais la première chose que l'on remarque chez toi, c'est ton allure de badboy ! Je sais ce que tu penses : je suis en train de me faire draguer ! D'ailleurs, vu qu'on parle de ça, tu es célibataire depuis deux ans. Je sais que c'est un sujet embarrassant mais on aime les détails croustillants ! Pendant que j'y suis... Tu fais partie des We are the rules donc.. tu dois vivre en appartement avec seul. J'aime bien suivre les gens dans la rue et voir si leur habitation est à leur image ! Tu dois me trouver tordue. J'ai l'habitude ! Mais tu as de la chance, tu m'as tapé dans l'oeil ! Et en plus, tu ressembles trait pour trait à Johnny Depp.. j'aime ça ! Mais sur ce, je te laisse. On se recroisera sans doute mais je ne te le souhaite pas. Bon vent ! „
Qui est-ce ? Prénom/Pseudo: Amy Âge: 19 ans Comment êtes-vous arrivé sur le forum ? Par mes pages favorites Double compte ? [XX] OUI [] NON Votre avis sur le forum: Je m'y plais tellement pas que je refais un compte ! Fréquence de connexion: 3 ou 4/7 Célébrité sur l'avatar: Johnny Depp Type du personnage: inventé Code règlement: - Spoiler:
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Dernière édition par Chris E. Morton le Lun 30 Avr - 23:54, édité 2 fois |
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Invité Invité
| Sujet: Re: I'm a work of art free » CHRIS Lun 30 Avr - 23:18 | |
| Route déformée, semée d'embuches et de goudron craquelé sous le soleil assommant de la Californie. Le vent s'infiltre à travers la fenêtre ouverte qui permet aux rayons du soleil de s'immiscer, glissant sur ma peau en une chaleur électrisante. Je sens la force du vent contre mon poignet lorsque je le sors par la fenêtre, jetant mon mégot de cigarette au milieu de la route. J'ai toujours aimé conduire, c'est la seule chose qui pouvait me calmer, me permettre de faire le vide, pouvant ainsi laisser libre court à mes réflexions. La musique du poste de radio s'élève fortement. La route est déserte, je ne croise personne alors que ma voiture vrombit parmi tout ces déserts et ces étendues vides. Je ne fais pas attention aux panneaux, ma destination est hasardeuse. Mes réflexions se concentrent au rythme de la batterie, mon esprit s'égare dans le passé en une douce nostalgie.
Mes parents étaient peu présents, toujours occupés par leur boulot respectif. Mon père était un homme très demandé et très sollicité, grand chirurgien esthétique. Encore aujourd'hui il est un homme influent, toujours invité dans ces réceptions mondaines où costard-cravate est de mise, le champagne coulant à flot. J'ai toujours détesté ce genre de soirée, je trouve ça tellement pathétique et hypocrite. Elles ne sont destinées qu'à lier contact avec des personnes qui ne pourront que vous servir dans votre misérable carrière méprisable qui n'a pour but que l'argent et le pouvoir. Quant à ma mère, elle était chercheuse en laboratoire. Autant dire que son métier incitait le respect et l'admiration. Pourtant, il ne m'a jamais inspiré que du dégoût. Ils avaient eu un fils avant moi, mon frère aîné Jack, dont sept ans nous sépare, la seule personne qui était présent lorsque j'en avais besoin. Il veillait toujours sur moi, je ne saurais comment le remercier pour ce qu'il a fait.
Je me souviens de cette soirée pluvieuse et sombre, contrastant parfaitement avec le soleil chaud et rassurant qui veille dangereusement sur nous aujourd'hui. Ce soir-là, ce fut l'un de ces seuls soirs où nous nous retrouvions en famille. Uniquement mes parents, mon frère et moi. Le feu crépitait dans la cheminée noire, c'était un soir de novembre. Ma mère avait alors sorti l'album photo de la famille. Album traditionnel qui consiste à réunir des photos, des souvenirs de famille. Pourtant, nos sourires étaient faux, figés, nous posions noblement les uns à côté des autres sans pour autant se toucher plus que nécessaire. Nous n'étions pas l'une de ces familles qui rient en voyant son enfant jouer, qui sourient tendrement en regardant les premiers pas, les premières joies.
Album de famille. C'était la seule chose qui me rattachait réellement à mes parents hormis mon nom de famille, seule preuve que c'était bien eux les membres de ma famille. C'est à travers les photos que j'ai vu ma tendre enfance dont je ne me suis jamais souvenu. Comment peut-on s'en rappeler lorsque l'âge ne nous le permet pas ? J'étais un enfant plutôt calme, contrairement à mon frère qui semblait être très turbulent et ne voulait suivre aucune règle. C'est marrant, plus on grandissait, plus cela s'inversait. Je devenais un jeune garçon intenable ayant soif d'indépendance et d'une liberté dont on me privait de plus en plus. A cette époque-là, je vivais dans une grande villa près de Malibu.
Mon père s'enrichissait sur des visions factices et superficielles du monde, réajustant un nez pour qu'il soit parfait, augmentant le tour de poitrine, enlevant les centimètres superflus, et tout ce qui touche à la chirurgie esthétique. Il s'obstinait à nous répéter que tout cela, il le faisait pour le bien-être d'autrui, malheureusement il est peut-être un excellent chirurgie réputé à travers le pays, mais il est un piètre menteur. Tout ce qui l'anime est l'argent et ce qu'il peut appeler perfection. J'ai toujours été son contraire. Pour moi, la perfection réside à l'intérieur de nous, non à l'extérieur. A quoi cela sert d'avoir un visage parfait s'il n'abrite rien d'autre que des idées peu profondes et superficielles du monde ? Mais il ne comprendrait pas cette vision, il a toujours vécu dans un monde basé sur la beauté et la richesse. C'est à quatorze ans que j'ai décidé de ne suivre que mes propres envies, mes propres opinions, et de les assumer pleinement. Je suis parti un jour en pleine ville, accompagné de mon frère qui m'encourageait à faire ce dont j'avais envie mais qui restait tout de même méfiant et responsable, veillant à ce que je ne fasse pas trop de conneries que je pourrais regretter. C'est ce jour-là que j'ai fais mon premier tatouage, celui au mollet, une tête de mort accompagnée d'une phrase que j'apprécie "Death is certain". Il me rappelle que la mort n'est jamais loin. Nous devons profiter de l'instant présent, au risque de le voir s'éloigner à jamais.
Mes parents ne l'ont évidemment pas remarqué, il était la plupart du temps caché sous mes vêtements. Par la suite j'ai effectué quelques autres tatouages, appréciant particulièrement ce genre d'oeuvres, l'art du corps. Mon autre cheville a ainsi rapidement accueilli un point d'interrogation. Pour moi, il signifie mon incompréhension face à la vie, face à énormément de chose. Il représente tellement bien ces questions qui n'auront jamais de réponses. Peu de temps après je tatouais le chiffre "3" sur ma main, la date de naissance de mon frère et de surcroît mon chiffre porte bonheur ainsi que trois petits coeurs à l'intérieur du biceps. Lorsque mon père s'est aperçu de leurs présences, j'ai cru qu'il allait faire une crise cardiaque. Il m'a assuré qu'il pouvait les effacer bien que ça prendrait du temps et que ce soit douloureux. Pathétique. Si je les ai fais, ce n'est évidemment pas pour qu'on me les efface. Ce sont mes marques, celles de mon passé et de mes réflexions profondes, de ma vision du monde. Et tout cela ne changera pas. C'est à ce moment-là que le peu de lien que j'avais avec lui a été rompu. Jack s'inquiétait de voir notre père s'éloigner de moi ainsi, mais je n'en regrettais rien. Et si je devais les refaire, je les referais. Lui était bien loin de tout ça. Les années passaient, et il réussissait toujours d'avantage, que ce soit dans les études, son métier ou bien sa vie de famille. Il s'est marié alors que j'avais dix-huit ans, et est parti vivre ailleurs, ce qui ne me permettait pas de le voir comme bon me semblait. Je m'étais engagé à ce moment-là dans une lutte pacifiste où je partais manifesté dès que je le pouvais. J'ai même boycotté le laboratoire où travaillait ma mère. Ce jour-là, je m'étais introduit à l'intérieur des batiments, et avait libéré les animaux de leur cage pitoyable pour des tests horripilants. Ma mère m'avait surprit. Je crois que j'ai réellement pensé qu'elle allait me dénoncer, mais elle n'en a rien fait. Elle était déçue, je le voyais dans son regard, mais là non plus, je ne regrettais rien. Elle s'était contenté de prononcer ces paroles. "Je ne te dénoncerais pas, Chris. Je mentirais, j'affirmerais que je n'ai vu personne. Mais dès le mois prochain, je ne te veux plus dans les parages. Tu nuis à la carrière de ton père et à la mienne. J'étais compréhensible quand tu avais seize ans, que tu étais un jeune adolescent, mais aujourd'hui tu es adulte, tu devrais comprendre la répercussion de tes actes."
Et le mois suivant, comme prévu, je parti de chez mes parents. Tout naturellement j'alla vivre chez Jack qui m'accueillit à bras ouverts. J'y resta un an tout au plus. Sa femme était tombé enceinte durant mon court passage chez eux, et je ne voulais absolument pas les empêcher de vivre une vie de famille, une vraie, pas comme celle que nous avions eu, Jack et moi. Bien qu'il s'obstinait à m'affirmer que je ne dérangeais pas, j'ai préféré partir. Habitant un appartement à Los Angeles, je laissa mes études en suspend pour vivre une vie de jeune, une vie décalée et instable. Je fréquentais le genre de personne dont nous savons parfaitement qu'elles ne resteront pas dans notre vie. Je fumais, je buvais. On m'appelait même «Le Poivrot», et un soir lorsque j'étais complètement soul, je parti me faire tatouer "Winno forever" (Poivrot pour toujours) dans un parchemin old school. Je ne me le suis jamais fais enlevé. Tout simplement parce qu'il est là pour ne pas que j'oublie, que j'oublie celui que j'étais lorsque je buvais. Je devenais violent. Et un soir, j'ai eu le malheur de lever la main sur une femme, une amie qui maintenant ne le sera plus jamais. Je regrette tellement ce que j'ai pu faire, mais je ne peux revenir en arrière. Alors je garde ce tatouage, ce souvenir des erreurs que j'ai pu commettre et que je n'ai plus jamais envie de refaire.
J'avais une vingtaine d'année lorsque je rencontra Betty Sue. C'était une jeune femme drôle, pleine de vie et bout en train. Elle était plus vieille que moi de quelques années, mais elle m'apportait tellement. C'était une jeune étudiante en journalisme, ce qui contrastait tellement avec son don pour rire de n'importe quel malheur. C'est ça qui m'attirait chez elle. Notre histoire dura deux ans, période durant laquelle je tatoua son prénom dans un cœur percé de traits tribaux. Elle avait changé ma vie, je reprenais goût à cette dernière, je voyais les choses autrement. C'est d'ailleurs Betty qui m'aida à arrêter l'alcool, depuis je n'y suis jamais réellement retombé. Elle a sa place sur mon corps, car elle a eu sa place dans ma cœur et dans ma vie. Je repris grâce à elle mes études, que je suivais d'ailleurs bien plus sérieusement que durant toute ma jeunesse. Bien qu'elle m'est quitté parce que notre histoire ne rimait plus à rien, j'ai toujours gardé de bons souvenirs d'elle, et jamais je ne pourrais lui en vouloir de quoique ce soit.
Je voyais mon frère à chaque période de vacances, il venait d'avoir une petite fille, ce qui semblait le rendre très heureux. Je l'avais toujours admiré, mais également envié. Je suivais mes études en criminologie, ce qui me passionnait et me convenait à la perfection. Mes parents ne faisaient que peu d'apparition dans ma vie, ils ne s'en mêlaient uniquement pour être sûr que je ne leur causerais aucun problème. Je vivais à Los Angeles une vie d'étudiant, allant à certaines soirées en faisant particulièrement attention à ne pas trop boire d'alcool. Malheureusement la drogue prit sa place. Au départ je ne fumais de la drogue que très légèrement de temps à autre dans certaines soirées étudiantes. Puis j'avais commencé à me droguer en dehors des soirées. J'avais une connaissance dans ma faculté qui avait d'ailleurs de très bons contacts pour s'en procurer. C'est ainsi que je fis la connaissance de Lily-Rose... Une jeune femme qui aimait s'amuser et ne jurait que par ça. Ce fut mon premier et mon dernier coup de foudre. Sans même la connaître, j'étais totalement amoureux d'elle. J'avais toujours été un Dom Juan à l'allure bad boy qui plaisait aux jeunes femmes de mon âge, et Lily-Rose ne fut pas une exception.
Elle se droguait régulièrement, si bien que plus les mois passaient, plus je la voyais sombrer. Elle devenait folle et complètement obsédée par la drogue. Elle se ruinait, avait été viré de la fac, et ne se "nourrissait" uniquement de ça. Je voulais faire quelque chose, l'aider à s'en sortir, mais c'était peine perdue. Je lui prêtais des sommes folles pour son addiction à la drogue, pour faire taire ses envies irrépressibles de ces conneries. Je m'endêtais et je du trouver des petits boulots pour continuer à vivre. Les sommes augmentaient, et je dû aller demander de l'argent à un proche. Mon frère. Évidemment, je ne lui ai jamais avoué la vraie raison. Dès que je venais lui en demandé, je prétextais des problèmes financiers qui se résoudraient rapidement. J'étais honteux de lui demander, et je le regrette aujourd'hui. Qui plus est, il comprit rapidement que j'avais des problèmes.
Lily-Rose commençait à remonter la pente financièrement, et j'eus la stupidité de croire que j'avais pu l'aider. Mais non. La jeune femme se prostituait pour subvenir à ses besoins. Je n'ai pas pu le supporter. La voir sombrer dans la drogue aussi facilement m'était insupportable, mais ça, je ne pouvais pas le cautionner. J'étais détruit, mais je la quitta tout de même. J'avais douloureusement compris que je ne pourrais pas l'aider à s'en sortir si elle ne le voulait pas. J'étais tellement attaché à elle, j'en devenais que plus dépressif jour après jour. Ma propre addiction pour les tatouages m'avait joué des tours. Effectivement, encore aujourd'hui, on peut apercevoir le prénom "Lily-Rose" tatoué sur ma poitrine, près du cœur, là où elle aurait dû rester alors qu'elle n'y retournera jamais. Depuis notre rupture, je ne l'ai plus jamais revu. Je crois qu'elle effectue encore ce métier abominable dans les quartiers de Los Angeles. Les mois passaient et je ne m'en remettais pas. Je me cachais derrière les jobs, le concours pour être professeur que je voulais obtenir, ainsi que les tatouages, encore et toujours. Sur l'un de mes bras trône ainsi "Silence exile cunning" (le silence bannit la fourberie) une citation que j'apprécie et qui me tient à cœur. Elle représente énormément pour moi. Un silence douloureux dans lequel j'ai pu me plonger durant une année entière. Mon frère, Jack, n'a pu supporter de me voir ainsi. Je restais cloitré chez moi et n'en ressortais que pour les cours ou les petits boulots à mi-temps que j'avais la plupart du temps en soirée, étant barman. Ce qu'il ne pu me pardonner, ce fut mes mensonges à son égard. Nous nous étions promis de ne pas se mentir, de tout se dire. Mais j'avais déshonoré cette promesse. Il se douta qu'une histoire de drogue était derrière tout ça, j'avoue que je ne sais comment. Jack cru que c'était moi le drogué, et me voir ainsi, sombrer en me servant de lui, il prit la décision de sortir de ma vie "le temps que je sorte de cette connerie". Lorsqu'il est parti, je voulu encré au plus profond de mon être ce qu'il était et est toujours pour moi, ce qu'il a fait, et mon affection pour lui qui ne se tarira jamais. J'ai ainsi fais tatoué sur mon bras son prénom, avec une hirondelle, un soleil et des vagues. La liberté, la chaleur, l'amour.
Je passa mon concours haut la main, et devint par la suite professeur en criminologie. Mes parents ont vite apprit ma situation financière minable ainsi que ce que j'avais pu faire à Jack. Ils m'ont donné une somme folle, me permettant ainsi de vivre bien plus aisément, à l'image des métiers de ces deux personnes qui, au final, n'ont jamais été ma famille pour moi. Ils ne font plus d'apparition dans ma vie depuis. Je dois être "la honte de la famille". Je me suis rapidement réconcilié avec mon frère suite à cela. Il a toujours été là pour moi et jamais je ne saurais comment le remercier de tout ce qu'il a fait pour moi. Je ne sais pas comment il a pu revenir vers moi après ce que j'ai pu lui faire. Mais il reste présent et me pardonne ce que moi, je ne me pardonne pas. Par la suite, je me jeta dans le travail, ce métier qui me plaisait énormément. Le contact avec les élèves m'était agréable. J'ai toujours été le professeur cool et amusant. Depuis j'ai augmenté le nombre de mes tatouages. Sur l'un de mes biceps se trouve une tête de chef indien, qui me guide dans mes choix, représentant également mes origines Cherokees. J'ai toujours été quelqu'un de sensible et de romantique. On me dit généreux bien que je cache tout cela dans la solitude dans laquelle je me complais. "Celui qui cache sa générosité est doublement généreux." J'en conclus que je dois l'être. Pour imager ce que j'apprécie dans ce monde, ma vision des choses, et ce qui me tient à cœur que ce soit tout autant chez autrui que chez moi, un tatouage en forme de triangle inversé trône sur l'un de mes bras, au-dessus du tatouage de Betty Sue, symbole de l'amour romantique.
Mon corps est mon art, l'œuvre de mon passé, de ce que j'ai été et de ce que j'ai vécu. C'est tout cela que signifie mon petit tatouage sur l'un de mes doigts, trois rectangles, symbole du brouillon de ma vie. Doigt qui tapote sur le volant au rythme endiablé de la musique assourdissante qui raisonne dans ma voiture, continuant à parcourir la Californie au gré de mes envies. J'ai besoin d'aventures, de m'évader. J'ai besoin de vivre.
Dernière édition par Chris E. Morton le Lun 30 Avr - 23:55, édité 1 fois |
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Bianca Lily-Kate Sanders
✎ Blabla : 435 ✎ Célébrité : Amber Heard ✎ Double compte : Non ✎ Études, emploi, job : Deuxième année de politique ✎ Parmi nous depuis le : 02/01/2012
| Sujet: Re: I'm a work of art free » CHRIS Lun 30 Avr - 23:29 | |
| Han mais OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII Bon tu sais déjà ce que je pense de ta fiche donc voilà et re-bienvenue PS : |
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Invité Invité
| Sujet: Re: I'm a work of art free » CHRIS Lun 30 Avr - 23:38 | |
| Il me faudra un lien avec toi aussi avec ma petite Autumn |
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Invité Invité
| Sujet: Re: I'm a work of art free » CHRIS Lun 30 Avr - 23:39 | |
| Merci merci Of course Autumn, surtout qu'on est tout les deux professeurs... |
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Invité Invité
| Sujet: Re: I'm a work of art free » CHRIS Mar 1 Mai - 0:02 | |
| Ah oui. Quand même. *tousse* Re-bienvenue alors Je valide ton code ! (Tu as déjà fini ? O.O) |
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Invité Invité
| Sujet: Re: I'm a work of art free » CHRIS Mar 1 Mai - 0:06 | |
| Merci Lily (Héhé, oui ) |
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Invité Invité
| Sujet: Re: I'm a work of art free » CHRIS Mar 1 Mai - 0:06 | |
| Welcome here |
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Invité Invité
| Sujet: Re: I'm a work of art free » CHRIS Mar 1 Mai - 0:09 | |
| Ton histoire fait très road-movie à la Rhum Express, j'adore Bon eh bien, tout est parfait, comme d'hab ! Tu es donc validé, avec plaisir, et tu connais la suite de la procédure, bien sûr |
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Invité Invité
| Sujet: Re: I'm a work of art free » CHRIS Mar 1 Mai - 1:42 | |
| Merci beaucoup |
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Tyler Eden-Sky Johnson ADMIN ϟ We're the rules, you're slaves
✎ Blabla : 934 ✎ Célébrité : Jared Leto ✎ Double compte : Je suis unique (a) ✎ Études, emploi, job : En cinquième année de médecine, musicien et chanteur amateur dans des bars de L.A. ✎ Parmi nous depuis le : 19/11/2011
| Sujet: Re: I'm a work of art free » CHRIS Mar 1 Mai - 3:12 | |
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Jazzmin K. Lennon ADMIN ϟ We're the rules, you're slaves
✎ Blabla : 1575 ✎ Célébrité : kristen stewart ✎ Double compte : nop. ✎ Études, emploi, job : danseuse. ✎ Parmi nous depuis le : 20/11/2011
| Sujet: Re: I'm a work of art free » CHRIS Mar 1 Mai - 3:42 | |
| Johnny Depp Re-bienvenue :) |
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Invité Invité
| Sujet: Re: I'm a work of art free » CHRIS Mar 1 Mai - 5:27 | |
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| Sujet: Re: I'm a work of art free » CHRIS | |
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| | | | I'm a work of art free » CHRIS | |
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