ϟ your student file

Lieu et date de naissance, nationalité: 1991. C'est un sept octobre ; je suis née et le monde n'a pas cessé de tourner à New-York. J'aurais pu naître n'importe où mais il a fallu que ce soit dans Brooklyn. D'une mère américaine et d'un père né suédois mort trop tôt pour que j'apprenne à le connaître. Il s'est effacé dans Brooklyn, comme un nuage gris. Pas de photo de famille, pas de souvenirs, rien. Un espèce de vide. Poids, taille, particularités: Je suis assez mince. Certaines personnes casseront du sucre sur mon dos en disant que je suis une anorexique qui cache son jeu, cependant, je ne prends pas un gramme de ce que je mange. Glace, sucreries, fastfood,... Rien de tout ça ne pèse sur la balance. J'ai un tatouage au niveau de l'omoplate ; "Ephemeral like a cigarette", que je me suis fait faire quand j'avais seize ans. Tatouage assez symbolique enfaite. Ma tante ne l'a encore jamais vu. Elle ne le verra probablement jamais.Qualités, défauts: Bon, des qualités, je n'en trouve pas beaucoup. Je suis plus ou moins sociable, voila ; sociable, souriante, à l'écoute des personnes qui en ont besoin. Réellement besoin. Je parle, mais ne suis pas pour autant une machine à parole et sourit mais il ne s'agit pas forcément d'un "réel" sourire. Je n'aime pas inquiéter mon entourage, faire de la foule autour de moi parce que, oh, je ne vais pas bien.. Quant aux défauts, il est plus facile d'en trouver que trouver ses propres qualités, vous ne pensez pas ? Je suis légèrement flemmarde, je reporte au lendemain ce que je pourrais sans doutes faire au moment présent. Je suis maladroite, dans tous les sens du terme et pour finir, je peux avoir l'air distante par moment. Voila comment je suis à première vue selon moi. Mais... C'est à vous de voir, hn ? On ne vois pas forcément tous pareil. Études ou emploi: Je suis des études en psychiatrie. J'en suis à ma troisième année et j'aime ce que je fais. Certes, j'ai encore beaucoup de choses à apprendre, mais je suis là pour ça. Ces études me plaisent. Pourquoi ? Car certains patients s'en sortent grâce au travail que nous faisons ou encore que nous rêvons de faire un jour. Certaines personnes disent que c'est un refuge pour les fous. Mais pouvez vous trouver une définition au mot normal sachant que tout le monde est différent ? J'aime aider les personnes dans le besoin, et ces études, bien que difficiles répondent à mes attentes. Sinon juste à côté, j'écris des livres pour enfants, voir adolescents lorsque je trouve le temps d'écrire. Et ce qui prends une assez grande partie de ma vie, c'est ce travail d'éducatrice de jeunes enfants. J'aime les enfants des autres ; enfaite, j'ai une certaine autorité qui les empêche de se révolter. Les premières impressions comptent, et si vous vous laissez submerger par la pression, eh bien, ils en concluent que vous êtes ... Une espèce de marionnette facilement manipulable, c'est aussi simple que ça. J'aime les enfants des autres, mais je ne me vois pas avec un quelconque enfant. Résidence: Je vis dans un appartement seule, car j'ai appris que la colocation ne me correspondait pas du tout. Ou peut être que je suis tombée sur le mauvais colocataire par excellence, on ne saura jamais. Confréries: si votre personnage est inventé, vous ferez forcément partie des students. Cela dit, vous pourrez toujours rejoindre une confrérie plus tard su vous le souhaitez. Expliquez ce que vous pensez de la Greek Life et quels sont vos projets dans ce domaine.

ϟ behind the computer

Prénom/Pseudo:Mi Âge: .. ans Comment êtes-vous arrivé sur le forum ? Grâce à Rose, Lily-Rose. Double compte ? [] OUI [X] NON Votre avis sur le forum: eh bien, il m'a l'air fort confortable ! Fréquence de connexion: 6/7 Célébrité sur l'avatar: Jessica Stam Type du personnage: inventé - scénario de pseudo du membre Code règlement: Spoiler:

ϟ tell me a story

Brooklyn. Mon histoire commence à partir de Brooklyn, ce quartier chaud dans lequel j'ai grandi. J'aurai pu naître dans n'importe quelle ville, dans n'importe quel pays et avoir une autre famille, mais tout ça, c'est mon histoire. Il suffit de changer le plus minuscule détail pour qu'elle ne soit plus à moi. J'ai grandi avec ma mère. Mère qui ne voulait pas d'enfant à l'origine. Elle était faite pour autre chose, elle disait. Elle rêvait d'être connue, d'être à la une des magasines avec son groupe, mais la drogue a eu plus d'importance que sa détermination. Elle était chanteuse principale dans son groupe. La musique était pour elle quelque chose d'énorme jusqu'à ce que mon père disparaisse et qu'elle me mette au monde dans la même journée. A partir de cette instant, la musique n'a plus eue lieu d'être dans sa vie. Elle aura essayé, de chanter encore une fois, pour un concert. Mais non, c'était fini, elle n'avait plus cette enthousiasme, cette joie de vivre contagieuse, cette espèce d'inspiration. Tout est parti en fumé quand elle a apprit le soir même que l'amour de sa vie était mort dans une fusillade. Elle avait tellement de projets, tellement de choses encore à lui dire en musique, tellement de choses vraiment.


Et puis il y a eu moi. Scarlett Europe. Allez savoir pourquoi elle m'a donné un nom pareil. Une chose est sûre, aujourd'hui encore je ne l'ai pas encore digéré. Il est simple pour moi de dire que je m'appelle simplement Scarlett, mais rajouter Europe, impossible. Ma mère était d'ailleurs la seule à m’appeler Europe. Elle disait que je devais en être fière, que ce prénom symbolisait beaucoup de choses. Beaucoup de choses que je ne voyais pas. Pour en revenir à nos moutons, il y a eu moi donc. Elle ne voulait pas d'enfant. Elle voulait être libre mais grâce à moi elle a été libre comme l'eau dans un verre durant un moment. Les six premières années, elle m'a fait comprendre qu'elle ne m'aimait pas, me l'a même dit un soir où tout allait mal, je me souviens. J'étais rendue responsable de tous ses malheurs. J'étais jeune à l'époque mais ses mots étaient aussi tranchant que les lames d'une épée. Je me demandais dans ma tête si j'avais réellement le droit d'être là, car à cause de moi elle pleurait toutes les nuits. Je l'entendais à travers les murs plus ou moins épais de l'appartement. Je m'autorisais à m'endormir que lorsque c'était fini. Je me demandais si j'avais le droit, si je méritais d'être là, mais aucune réponse à cette question.


Il y a ensuite eu la vague, dévastatrice vague de la drogue. Le dealer venait lorsque j'allais à l'école. Lorsque je lui disais qu'elle foutait en l'air sa vie, elle me disait que c'était justement SA vie et que ça ne me regardait pas le moins du monde. Les cachées avait été l'idée la plus idiote qui puisse exister car depuis, elle ne rentrait pas la nuit, ou durant des journées entière. Et lorsqu'elle revenait, elle était en piteux état ; bourrée, les yeux rouges et gonflés par les larmes, les cheveux blonds ébouriffés. Lorsque je voulais l'aider, elle me repoussait, et lorsque je ne faisait rien, elle m'accusait d'être un poids dans sa vie. J'avais à peine huit ans. Qu'est-ce que j'étais supposée faire, hm ? La drogue prenait plus de place que deux paquet de clopes dans la poche d'une veste. Le reste, elle s'en foutait complètement, le reste la dépassait juste complètement. Trois ans sont passés. Toutes ces substances ont finies par prendre le dessus et elle a fait une overdose après avoir prétendu quelques jours avant, "arrêter de prendre ces conneries". Lorsque ma tante l'a appris, elle s'est temporairement installé à New-York et j'ai emménagé avec elle. Nous avons passé quelques mois à New-York avant de partir pour L.A , laissant Brooklyn et ses souvenirs dans une boîte bien fermée. J'ai poursuivi mes études, intégration plus ou moins facile, résultats satisfaisant malgré une présence plus ou moins terne.


Le lycée a été chose plus facile pour moi. J'ai pratiquement grandi au lycée car, le collège était plutôt une immense cour de récréation. Première cigarette, premier verre, première cuite. Le premier amour s'est montré au lycée lors de ma première année. Premier amour qui s'est révélé être un connard. Alors je me suis détachée de lui, c'est aussi simple que ça. Et puis, manque de chance peut être, je suis tombé sur d'autres connards. Et mon cœur s'est endurci. J'ai appris que la chose la plus horrible qui puisse exister, c'est d'aimer une personne qui ne le mérite pas. Car elle nous empêche d'aimer par la suite, aussi sincèrement qu'avant. J'ai appris beaucoup de choses au lycée. Et maintenant... Maintenant je vis dans mon propre appartement après avoir tenté la coloc, qui n'était visiblement pas si positif que ça. Manque de bol, je suis tombée sur un déséquilibré... Études en psychiatrie et tout le tralala ; Je suis Scarlett Europe Blackwood. . Et vous, qui êtes vous vraiment ?