ϟ Sasha Anthéa

Michaelis

ϟ your student file

lieu de naissance, nationalité Je suis née à Londres au cours de l'année 1991. Je suis donc une pure londonienne, mais mon sang n'est pas 100% british, en effet ma mère a des origines irlandaises et écossaises. poids, taille, particularités Je fais un mètre 65 pour ... vous y avez crût. On ne demande pas le poids d'une jeune femme. C'est malpoli. Revoyez vos manières, non mais! qualités, défauts Il m’arrive d’être possessive et tout particulièrement avec mon meilleur ami. Autant vous dire que certaines de ses conquêtes ont pas eut beaucoup de chance. Je suis remplie de remord vis-à-vis de ma sœur. Etant la cause principale de sa mort autant dire que c’est pas les remords qui me laissent tranquille. Il m’arrive aussi d’être désordonné. Il n’est pas étonnant de voir mes affaires trainées. Heureusement, il m’arrive de ranger au moins une fois par mois ou tous les deux mois. . Je suis également maladroite, pas toujours, mais la plupart du temps. Gentille et sympathique sont deux mots qui me vont le mieux. Je connais mes manières et me montre très rarement agressive et colérique. J’ai un bon contrôle de moi-même en général, je reste souvent calme. J’ai sans conteste de l’imagination. Il m’arrive de partir dans des délires complétements loufoque juste pour le plaisir de me lâcher un peu.

études ou emploi J'étudie la photographie depuis 2 ans. La première année je l'ai passée pour moitié à Londres et l'autre moitié à Rome. Grâce à ma mère qui a certains contacts j'ai put voir à l’œuvre certains grands photographes (mais tous des photographes de mode). Je travail à temps partiel dans une librairie qui fait aussi café. résidence Je vis dans un 3 pièces au 34ème étage d'un immeuble dans Downtown, avec Samuel, mon ami d'enfance. Impossible de se rater. Et le meilleur dans tout ça c'est que chacun à sa salle de bain, sans parler de la piscine privative de l'immeuble. confréries Moi je ne suis qu'une simple étudiante, indépendante de toute confrérie. Cette "Greek Life" ne m'affecte pas plus que ça. Ce n'est pas parce que telle personne est dans telle confrérie ou une autre que je vais arrêter de m'entendre avec elle ou ne pas être son amie (ou ennemie). Je ne souhaite rejoindre aucune confrérie particulière. Je suis très bien parmi la populace. Je suis également maladroite, pas toujours, mais la plupart du temps.

ϟ behind the computer

Prénom/Pseudo: Azky, Yumyumx3, ReiraÂge: 20 ans Comment êtes-vous arrivé sur le forum ? Grâce à Lily-Rose Double compte ? [] OUI [X] NON Votre avis sur le forum: j'adoreuh tout simplement *-*Fréquence de connexion: 3/7 Célébrité sur l'avatar: Amanda Seyfried Type du personnage: inventé Code règlement: Spoiler:

ϟ my story is not

a fairy tale

ϟ tell me a story

Je suis née en mai, un 21 mai 1991 pour être plus exact. Je n’étais pas la seule à être venue au monde ce jour-là. Avant moi, il y a eu une autre petite fille. Elle était en avance de cinq minutes à peine. Cette fille qui est née juste avant moi a été appelée Sabbah Ahéna Michaelis. C’est joli n’est-ce pas ? Moi on m’a donné les mêmes initiales : Sasha Anthéa Michaelis. Un peu moins poétique peut-être ?

Dès le début, ma jumelle a eu tous les regards tournés vers elle. Elle était la plus belle des deux, la plus intelligente, la plus sympa, la plus facile à vivre, la plus vive…ça c’était au début. Après elle est devenue l’enfant à problème, mais elle avait quand même toujours plus d’attention. Elle était la plus fragile, la plus droguée, elle avait plus d’amis, elle était devenue trop dangereuse pour elle. Résultat elle est partie dans un couvent, puis dans un centre de désintoxication, puis dans un internat, avant de passé enfin une année en liberté dans cette université. Ici certains d’entre vous connaisse ma sœur jumelle. Certains d’entre vous l’ont aimé et d’autres l’ont détesté, mais peut-être étais-ce un cas plus rare. Oui, car elle était redevenue la jeune fille aimante et attentionnée…la jeune fille remplie de bonne intentions. Tout le monde aimait ma sœur, je pense.

Moi, je suis la discrète. Celle qu’on remarque tout juste. Je n’ai pas forcément un caractère plus effacé, mais depuis le début, les lumières sont tournées vers Sabbah et les regards avec. Je ne dis pas que j’étais moins importante aux yeux de ma famille non plus, mais j’étais celle avec qui on n’avait aucun souci à se faire. Si seulement ils savaient.

Je me suis également essayée à la drogue, à l’âge de 13 ans. C’est tôt n’est-ce pas ? Néanmoins, qu’y voulez-vous ? Ce genre de chose circule bien et il n’est pas très difficile de s’en procurer. Je ne suis jamais devenue accro à ses substances contrairement à Sabbah. En même temps je n’y avais gouté qu’une fois ou deux en quantité légère et je m’étais fait violence pour ne plus y goutter. Mes notes étaient devenues meilleures que celle de Sabbah du coup, mais il faut dire qu’elle ne passait plus autant de temps à réviser. Elle était alors trop prise par les cuites et les fêtes entre « potes ». Moi je n’avais pas autant d’amis qu’elle. J’avais deux amies. Cela aurait pu me suffire, mais j’avais l’impression d’être une intruse dans leur duo. En vrai j’avais surtout un seul et véritable ami depuis l’enfance : Samuel C. Springford. On était voisin. Cependant, il a finit par partir et je me suis rendue compte que j’éprouvais des sentiments pour lui. C’est vers l’âge de 15 ans que j’ai eu mon premier rapport. Il avait deux ans de plus que moi. J’étais un peu bourrée d’ailleurs, enfin il me semble, mais j’étais consentante. Ce n’est que plus tard, un an et 10 mois plus tard exactement, que j’ai commencé à fréquenter des hommes beaucoup plus âgés que moi. Ils avaient entre 30 et 50 ans pour la plupart. Certains avaient aussi dans la vingtaine, mais c’était moins courant. C’était plus des aventures d’un soir. Peu à peu je me suis faite une clientèle. Oui, j’ai bien dit une clientèle. Ils m’offraient des cadeaux pour la plupart et m’emmener dans des soirées très privées ou diner dans des restaurants chics et sélectes pour avoir le plaisir de passer la soirée avec moi. Parfois même, ils me donnaient de l’argent. Des sommes assez hautes pour la plupart. Bien sûr c’était du liquide, donc aucune personne de mon entourage n’était au courant que je passais certaines de mes nuits dans les lits des hommes haut placés ou assez riches, parfois même mariés et des fois encore des proches de mes parents, des amis à eux ou des parents de mes camarades de classe. Suis-je une prostituée ? Possible ! même si je ne me considère pas comme tel. Peut-être suis-je tout simplement en mal d’amour, d’affection et de reconnaissance ?

Cependant, un jour, tout s’est retrouvée chamboulé. Sabbah est revenue de l’internat dans lequel elle était. Elle y était bien. Alors pourquoi était-elle revenue ? Tout était redevenu comme avant, jusqu’à ce qu’elle découvre pour moi. On venait de fêter nos 19 ans. J’avais prétendu aller fêter mon anniversaire avec des amis, mais en réalité j’allais voir une de mes relations secrètes. Le hic c’est que Sabbah, se doutait déjà que je faisais des trucs louches. Sans doute que sur le coup, elle avait eut peur que je me drogue comme elle autrefois, mais à la place elle a découvert que je me « prostituais ». J’ai réussi à lui faire garder le secret au début, mais plus ça aller et plus elle menaçait de tout dire aux parents. Dans ma tête ça a été la panique. Il fallait que je l’en empêche. Elle disait que c’était pour mon bien, que ces gens profitaient de moi et qu’il fallait les dénoncer pour que cela cesse. Ce qu’elle ne comprenait pas c’est que ça allait détruire la réputation de fille sage et gentille que j’avais, et moi je ne le voulais pas. L’image de fille modèle avait ses avantages. Il fallait que je l’arrête.

Il fallait que je trouve un moyen de la faire de changer d’avis, mais rien n’y faisait. Alors la seule autre solution que j’ai trouvé, c’était de retirer tout crédit à ses propos. La drogue. La refaire plonger dedans. C’était la seule chose que j’ai trouvé à faire. Je glissais des substances petit à petit dans tout ce qu’elle avalait. Ses repas, ses boissons autre que de l’eau et etc. Je crois qu’elle s’est aperçue que quelque chose n’allait pas quand elle a commencé à se rendre compte qu’elle était en manque, car elle ressentait les mêmes symptômes que lorsqu’elle avait été accro il y avait quelques années de cela. Ce n’est que quelques mois plus tard encore que ses soupçons se sont tournés vers moi. Elle me soupçonnait à juste titre de mettre des drogues dans sa bouffe. Néanmoins, elle ne dit rien et de mon côté j’avais arrêté de verser les doses. J’ai fini par comprendre qu’elle était redevenue accro par ma faute. Elle se faisait juste plus discrète. Cela n’empêcha pas le drame de se produire.

Elle est morte sous mes yeux et devant ceux de toute la famille à l’âge de 19 ans et 7 mois. Ce qui comprend nos parents, notre petite sœur ainsi que notre sœur et notre frère aînés. Je l’ai vu faire une overdose par ma faute. Je n’ai pas réalisé tout de suite que c’était moi la responsable de sa mort. Quand je l’ai vu devant mes yeux, entrain de se tordre et de convulsée, c’est comme si c’était moi que je me voyais mourir. Je me suis rendue compte que petit à petit moi aussi je mourrai d’une overdose, une overdose d’une vie sans but et sans sens. Bien sûr je me sentais coupable et j’avais mal de voir sa sœur mourir ainsi devant moi, mais d’un côté je me suis sentie soulagée de voir que mon secret ne serait jamais dévoilé. D’avoir ressentie ça me dégouta également de moi-même. Le verdict était clair et net, le médecin avait déclarée qu’elle était morte d’une overdose. Ce diagnostique ne fut même pas remit en question par la famille. Tout le monde savait qu’elle avait eu des problèmes et tous avaient commençait à penser qu’au final elle ne s’en était jamais débarrassée. Elle avait juste apprit à le cacher.

Après m’être rendue compte du fait que finalement j’étais morte avant même d’avoir commencé de vivre, plus le fait que j’étais responsable de la mort de ma sœur, je décidai de reprendre le dessus ou du moins d’essayer. Rares étaient ceux qui savait que ma sœur était morte. Mes parents avaient fait en sorte que l’histoire soit étouffée. Les journalistes n’en n’ont pas parlé. En tant que personnalités publiques, il était important qu’ils gardent une image lisse et n’avaient pas besoin de celle de parents irresponsables qui avaient des enfants qui se droguaient à en mourir. Arrivée bientôt à l’âge de 20 ans je ne supportais plus de restait à Londres et de continuer à avoir les mêmes relations. C’est pour cela que je pris la décision d’aller dans la même université que ma sœur, à Los Angeles. Je coupais net tout lien avec les hommes que j’avais fréquenté. Je gardais mon portable et leur contact, mais je répondais rarement voir pas du tout.

Je commençais une nouvelle vie, en colocation avec mon meilleur ami de toujours Samuel.