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| God striket with the left hand, and stroaket with the right ♣ Jonas Owen Moor | |
| Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: God striket with the left hand, and stroaket with the right ♣ Jonas Owen Moor Jeu 29 Déc - 9:40 | |
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lieu de naissance, nationalité Je suis né dans la ville très célèbre du Canada et plus particulièrement du Québec, Montréal. C'était un soir de Juin, le dix-neuf plus précisément, dans le courant de l'année 1981, que j'ai montré le bout de mon nez à exactement 21h32. poids, taille, particularités J'ai une corpulence assez respectable, mesurant 1m83 pour un poids aux environs de 90kg, en comptant ma chaire musculaire évidemment ;D Je suis un athlète, bien qu'on ne le remarque pas au premier coup œil. Je suis pourvu d'une montagne de cheveux, si si je vous assure. Mes cheveux sont extrêmement épais, je peux en faire ce que je veux, souvent coiffés avec du gel, j'adore me faire des coiffures différentes tous les jours, bien qu'à force mon inspiration ait quelques limites, je vénère ma masse cheveuleresque ;). qualités, défauts Coté qualités... Je dirais que je suis plutôt du genre déterminé, têtue (ce qui peut être une qualité) et aussi avec un coeur en or, ayant été adopté puis élevé par des gens je-m'en-foutiste, je suis devenue une personne sur qui on peut compter, qui peut être une épaule sur la quelle on pleur, je donne ce que je n'ai pas eu, de la compassion, de l'amour, du respect. Coté défauts... Je dois dire que je suis bien garnie au niveau des défauts, mais les trois qui pourrait le mieux me représenter seraient la froideur, l'abus de drogue et pour finir la grossièreté. Malgré mon coeur d'ange et ma capacité à écouter même quand ça va très mal, je dois avouer que je peux être très froid avec certaine personne, notamment les inconnues. Quand à mes deux autres défauts, ils vont un peu de paire.
| emploi Je suis un simple professeur de chant et de musique, en particulier la guitare, bien que le chant soit véritablement ma "matière" de prédilection j'aime beaucoup les instruments à cordes, ce qui m'a poussé à en faire un peu plus dans la musique et à donner des cours de guitare parfois à domicile. résidence Maison remise à neuve entre amis. C'est une propriété situé dans le quartier "riche" de Los Angeles. Elle est grande, comporte un garage. La façade est blanche, les volets sont rouges bordeaux, les poutres sont apparentes et rouges également, architecture inspirée des maisons du pays basques de la France. C'est une maison neuve, de "première main". L'intérieur est entièrement blanc. L'allée centrale menant à la porte d'entrée, est faite en petits galets, un muret assez haut cache l'allée principale pour la voiture. Il y a également un très jolie terrain verdoyant, muni de buissons et autres arbres fantaisies. La maison comporte également plusieurs balcons, environ 4 chambres toutes prises par les colocataires, ainsi qu'un grand salon-cuisine, les deux pièces étant séparées par un simple bar. La déco est moderne et entiérement blanche. groupe ϟ Teachers & others
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| Prénom/Pseudo: Or-ange Âge: 21 ans Comment êtes-vous arrivé sur le forum ? PRD :) Double compte ? [] OUI [XX] NON Votre avis sur le forum: Très très beau rpg ! Dans tous les sens du termes :D Fréquence de connexion: 2.5/7 (internat) ou 7/7 (vacances) Célébrité sur l'avatar: Matthew Morrison Type du personnage: inventé Code règlement: - Spoiler:
Yeah, yeah, yeah. Validée par le citron, qui ne l'aurait pas deviné?
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Dernière édition par Jonas O. Moor le Jeu 29 Déc - 13:31, édité 5 fois |
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Invité Invité
| Sujet: Re: God striket with the left hand, and stroaket with the right ♣ Jonas Owen Moor Jeu 29 Déc - 9:40 | |
| « CHAPITRE I »
C’est le dix-neuf juin 1981 que je montrai le bout de mon nez à mes parents, Blaze et Jane. Le Canada, plus particulièrement la ville de Montréal, m’accueillit dans un de leurs grands hôpitaux. Moi qui croyait qu’avoir un enfant, c’était la plus belle chose qui soit. Que des conneries tout ça, car le lendemain, mes parents avaient déguerpi tels des voleurs. Il faut croire que mettre au monde un enfant, ça ne plaît pas à tout le monde. J’en étais la preuve vivante. Après la fuite de mes parents biologiques, je fus placé dans un orphelinat à proximité de Montréal. Je fus bien vite adopté, par mes parents actuels, deux riches américains. Ma mère adoptive avait craqué pour mes beaux yeux et ne pouvant pas avoir d’enfant, elle avait supplié mon père pour m’adopter. Bien entendu, il avait cédé à ce caprice enfantin et j’étais reparti dans les bras d’une nouvelle famille sous le nom de Jonas Owen Moor. Après ma rapide adoption, mes nouveaux parents repartirent au pays, au New Jersey. C’est lors d’un voyage qu’ils avaient eu la « chance » de m’avoir adopter. Leur vrai lieu d’habitation se situait à New York, dans un immense appartement. Ce que je ne vous ai pas dit, c'est que l'on m'a révélé que j'étais un enfant adopté à l'âge de vingt ans. Pourquoi me l'avoir caché tout ce temps ? Je n'en ai jamais eu la raison exacte.
Bien vite après m’avoir recueilli, ma mère ne faisait guère attention à moi. Pour elle, j’avais été une sorte de poupon dont on se sert pendant un mois, tout au plus. Depuis le début, j’étais invisible aux yeux de mon père ; mais je deviens bien inexistant aux prunelles de ma mère. J’étais terriblement seul. Il est vrai que jusqu’à mes quatre-cinq ans, je ne m’en rendais pas vraiment compte. Mais en grandissant, la présence de parents protectifs devient indispensable. Et malheureusement, je n’avais pas le privilège d’avoir des parents présents pour moi. Avec son travail d’ambassadeur, mon père n’avait pas une seconde à lui. D’ailleurs, il n’avait aucune envie de s’occuper de moi dans ces piètres moments de temps libres. Il passait la plupart de son temps enfermé dans son bureau ou au téléphone. Quant à ma mère, elle n’était pas beaucoup à la maison non plus. Son poste au sain d’une agence immobilière était haut placé et obligeait une forte dose de travail. Tout ça pour vous dire que la seule présence parentale que j’avais était celle de ma nourrice. Heureusement qu’elle était là d’ailleurs. Elle m’apportait un minimum de joie et de bonheur dans cette immense duplex sans vie. Je passais mes journées avec elle. Que ce soit dans ma chambre à jouer aux légos ou dans notre grande piscine à rigoler. Durant mon enfance, c’était une de mes seules amies. Bien sur, j’allais dans les plus riches écoles que mes géniteurs pouvaient me payer. C’est dans la banlieue de New York qu’ils m’envoyèrent. Toutes ces années en pensionnat, loin de mes parents, m’avaient terriblement affaibli. J’en souffrai beaucoup au début, mais avec le temps, toutes les plaies se soignent un jour, n’est-ce pas ? A l’école, j’étais quelqu’un de très solitaire, ne parlant avec les autres que pour les rabaisser ou leur faire du mal. Je sais, je suis un être exécrable. J’avais peut être deux ou trois réels amis, mais pas bien plus. J’étais plutôt seul et passais mes journées à travailler. C’est grâce à cette époque de ma vie que je peux me permettre de relâcher la pression de temps en temps. J’ai toujours été très doué au niveau intellectuel. Mes notes excellentes m’ont d’ailleurs permis d’arriver où je suis à présent.
« CHAPITRE II »
Mes années collège et lycée se passèrent plutôt bien. Niveau scolaire bien sur. Car au niveau des amitiés que j’avais pu créer, elles étaient rarissimes. Le caractère que je m’étais forgé faisait de moi une personne froide et peu accorte. Je pouvais être détestable et méchant sans remords par la suite. Je me fichais pas mal de ce que les autres pensaient de moi. J’étais riche, beau et le plus grand manipulateur qui soit. Pourquoi se soucier de ce que pensent les autres ? Ils devaient être certainement jaloux de moi, comme d’habitude.
Après avoir fêté mon dix-septième anniversaire, je pus enfin repartir chez moi, à New York. Même si je ne me l’avouais pas, j’étais content de rentrer chez moi, en partie pour voir mes parents. Dans un petit coin de mon esprit, je m’étais dit qu’ils avaient peut-être pensé à moi. Mais quand je rentrai de l’aéroport pour atterir dans le grand hall de l'appartement, il n’y avait personne. La demeure n’avait pas changé d’un poil. Toujours aussi claire et propre, mais surtout, toujours aussi vide. J’étais parti il y a plus de cinq ans, et je me sentais toujours aussi seul et délaissé.
« Jonas ! » s’écria ma mère sur un ton faussement enjoué. Elle avait toujours ce même visage, où trônait un sourire hypocrite. Ses cheveux blonds colorés étaient attachés en un chignon parfait et son tailleur noir l’amaigrissait encore plus. Elle devait sans doute se rendre au travail. Je lui lançai un regard pétillant de joie, pour lui montrer qu’elle m’avait manqué. Un regard sincère. Mais je crois qu’elle ne devait pas connaître ce mot. Je n’eus même pas le temps d’ouvrir la bouche qu’elle me coupait déjà, pour changer. « Tu me raconteras tout plus tard hein ? Je file au travail ! » Son sourire plus faux que jamais était accroché à ses lèvres et d’un petit mouvement forcé, elle me déposa un baiser sur la joue. Je la vis sauter dans une limousine et une fois hors de ma vue, j’essuyai cette joue qu’elle m’avait sali. Je la détestais. Tout comme mon père. Tout ce qu’ils avaient su me donner, c’était leur foutu argent. Je ne vais pas non plus me plaindre, mais entre l’argent et l’affection, quel choix feriez vous ?
« CHAPITRE III »
A l’âge de mes vingt et un an, je pouvais enfin partir de chez moi. Je rêvais depuis un petit bout de temps de m'installer sur Montréal. Je m'étais inscris dans une université où je pourrais perfectionner tout ce qui touche ma filière. Je m'étais lancé dans l'art, j'adorais cela. Le soir même, j’avais déjà fait mes valises alors que je ne partais que dans plusieurs semaines. Je n’en avais pas touché un mot à mes parents, de toute façon, ils ne m’avaient rien demandé. Je voulais garder cette joie pour moi et moi seul.
Puis le grand jour arriva, enfin. Je l’avais tellement attendu. Je venais de m’offrir une magnifique voiture pour ma réussite. Mes bagages étaient déjà rangés depuis plusieurs jours et il ne me manquait plus qu’à dire au revoir à notre grande batisse. Je n’allais peut être jamais revoir mes parents. C’est avec un petit pincement que je démarrai sans un adieu auprès de mes tuteurs. La route fut très longue de New York à Montréal, mais j'avais toute la journée. Plus de 6 heures plus tard et j’étais arrivé. Un sourire béat demeurait sur mon visage, incapable de le retirer. La ville de Montréal m'avait toujours attirée, je ne sais pas pourquoi. Tout était magnifique. Le firmament d’un bleu pur surplombait l’immense université où j'allais maintenant étudier. La tonne de nouveaux étudiants s’amassait tels des fourmis rentrant dans leur fourmilière. Mes iris brillaient d’excitation et de bonheur. J’étais enfin arrivé ici et je n’étais pas prêt de repartir.
« CHAPITRE IV »
Mes deux premières année en tant qu’étudiant furent les plus belles de toute ma vie. La filière où j’avais été accepté regorgeait de beaucoup d’étudiants, semblables à mon caractère. Je trouvais enfin des personnes avec qui parler, déconner et faire la fête. Mais je ne me laissais pas submerger par le monde de la nuit. Mes notes aux examens de fin d’années étaient toujours parfaites –sans le moindre effort. Je crois vraiment que l'art est faite pour moi. Ça fait trois ans que je suis ici. J’aurais pu vous dire que ma troisième année se passerait comme les autres. Mais bien entendu, il a fallu qu’on chavire tous mes plans. Pourquoi une mauvaise nouvelle n’arrive jamais seule ? Tout d’abord arriva le jour où j’appris que je n’étais pas un vrai Moor. En soit, ce n’était pas très grave. Mais me l’annoncer après ma vingt quatrième année, et en plus après avoir subi un grave accident, c’est très sympathique je trouve. Ce foutu accident de voiture avait bien failli me coûter la vie. Et ayant un groupe sanguin très rare, mes parents adoptifs ne purent évidemment pas me fournir de sang adéquat. Je fus plongé dans un coma profond pendant plusieurs jours, jusqu’à qu’une âme plus que généreuse me vienne en aide. Cette âme généreuse n’était autre que mon frère. Je me répète surement, mais les mauvaises nouvelles n’arrivent jamais seules ! Mon frère ? Pour moi, c’était la meilleure de l’année. Cet homme qui avait su charmer Louise, qui était même sorti avec elle ne méritait pas ma gratitude. Mais depuis qu’il m’a involontairement sauvé la vie, disons que je lui dois quelque chose. C’est donnant donnant quoi.
Louise. Une autre mauvaise nouvelle. Ou une bonne ? Honnêtement, je ne serai vous le dire. Cette fille m’a rendu dingue dès la première fois où j’ai croisé ses iris noisette. Depuis la seconde où mes yeux se sont posés sur son visage, j’ai l’impression de ne voir qu’elle. C’est comme si elle empoisonnait mon être, tout en m’afaiblissant à petits feux. J’ai même l’impression qu’elle s’amuse à me résister, je ne sais plus quoi penser d’elle. Moi qui m’était promis de ne jamais briser mon cœur de pierre, et bien c’est raté. Totalement foutu. C’est peut être ça la bonne nouvelle, m’avoir fait tomber fou amoureux d’une fille. On dit toujours que l’amour est le meilleur sentiment humain, mais pour moi, c’est plutôt le pire. Ma vie ne se résume plus qu’à boire et fumer encore et encore, jusqu’à me tuer d’une mort lente, telle une cigarette que l’on consume..
« CHAPITRE V »
L'université enfin terminée je partais pour de nouvelles aventures. Je laissais mes problèmes de coté, Louise et mon frère, qu'elle importance ? Je n'ai pas envie de connaitre mon frère, qui m'a cependant sauvé la vie, mais il est en couple avec Louise, MA Louise. Rien que de les voir se bécoter devant moi me débecte, je ne peux pas vivre comme ça, c'est pour ça que maintenant je partais sur LA, en Californie. Très belle région du coté pacifique des États Unis. Je dois avouer que m'exiler là-bas peut me faire le plus grand bien. Oublier Louise, mon frère, mes tracas, tout reprendre de zéro, sur le bon pied. Enfin presque, mon addiction à la drogue persiste, il faudrait que je pense à aller voir un spécialiste, mais je n'ai pas le temps. Mes élèves m'attendent pour monter un spectacle. Je peux pas faire ma thérapie en même temps que mes cours de chants, ça risque de tout chambouler... Bon dieu... Que faire ?
Dernière édition par Jonas O. Moor le Jeu 29 Déc - 14:02, édité 3 fois |
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| Sujet: Re: God striket with the left hand, and stroaket with the right ♣ Jonas Owen Moor Jeu 29 Déc - 9:44 | |
| Bienvenue à toi (: Bonne chance pour la suite de ta fiche (: Si tu as une question n'hésites pas |
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Invité Invité
| Sujet: Re: God striket with the left hand, and stroaket with the right ♣ Jonas Owen Moor Jeu 29 Déc - 9:47 | |
| Merci ! Justement j'ai une question ! xD (ça y ait ça commence *sors*) c'était pour savoir si ça gênait que je porte le même nom à une lettre prêt (le "e") qu'un membre déjà inscrit ? |
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| Sujet: Re: God striket with the left hand, and stroaket with the right ♣ Jonas Owen Moor Jeu 29 Déc - 9:51 | |
| De rien (: Et bien, pour moi c'est bon, mais demande quand même à la personne concernée au cas où (: |
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Invité Invité
| Sujet: Re: God striket with the left hand, and stroaket with the right ♣ Jonas Owen Moor Jeu 29 Déc - 9:54 | |
| Merci je le fais de ce pas ! :D |
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Invité Invité
| Sujet: Re: God striket with the left hand, and stroaket with the right ♣ Jonas Owen Moor Jeu 29 Déc - 10:03 | |
| Bienvenue chez les fous mon « presque double » de nom de famille Bonne continuation pour ta fiche ! (: |
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Invité Invité
| Sujet: Re: God striket with the left hand, and stroaket with the right ♣ Jonas Owen Moor Jeu 29 Déc - 10:34 | |
| :D merci EDIT : encore une chtite question !!! Quels sont les postes de professeurs ? Les matières en gros ? Notamment dans l'art ? |
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| Sujet: Re: God striket with the left hand, and stroaket with the right ♣ Jonas Owen Moor Jeu 29 Déc - 10:41 | |
| Bienvenue et bonne chance pour finir ta fiche ! :D |
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Invité Invité
| Sujet: Re: God striket with the left hand, and stroaket with the right ♣ Jonas Owen Moor Jeu 29 Déc - 10:44 | |
| Merci ! :D
UP question -- > Quels sont les postes de professeurs ? Les matières en gros ? Notamment dans l'art ? |
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Invité Invité
| Sujet: Re: God striket with the left hand, and stroaket with the right ♣ Jonas Owen Moor Jeu 29 Déc - 10:56 | |
| Bienvenue ;) Bonne chance pour ta fiche. Tu peux retrouver une liste d'études ici |
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Invité Invité
| Sujet: Re: God striket with the left hand, and stroaket with the right ♣ Jonas Owen Moor Jeu 29 Déc - 11:02 | |
| OMG, Matthew Morrison dis dis dis, tu m'épouses ? Sinon bienvenue ici ! :D |
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Invité Invité
| Sujet: Re: God striket with the left hand, and stroaket with the right ♣ Jonas Owen Moor Jeu 29 Déc - 14:05 | |
| Merci James :D Why not Athena ? et merci ! :D Je pense avoir fini ma fiche ! |
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Invité Invité
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| Sujet: Re: God striket with the left hand, and stroaket with the right ♣ Jonas Owen Moor | |
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| | | | God striket with the left hand, and stroaket with the right ♣ Jonas Owen Moor | |
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